1. Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (4)


    Datte: 14/05/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... habituel. Nous nous installons à genoux sur le lit, face à face, sa merveilleuse poitrine constituant mon nouvel « objectif ». Cette fois, Maman ne me prodigue aucun conseil, mais je sais d’instinct comment la satisfaire. Je commence par soupeser ses seins lourds, les palper fermement, mais sans brutalité. Douceur, fermeté, souplesse, volupté, tout cela à la fois. Je pose ma bouche sur eux. Je me mets à les lécher, intégralement. Ils deviennent rapidement luisants de salive. Je fais tourner ma langue autour des tétons, bien saillants, que je qualifierais de « bandés ». Je me mets à les téter, comme un bébé, ce qui fait éclater de rire Maman. A nouveau un peu vexé, je me recule et lui jette un regard noir. pwypaamq — Ne sois pas si susceptible ! C’est ton ardeur qui m’amuse, mais tu t’y prends très bien. Allez, reprends ton travail ! Ah, si « travailler » ne consistait qu’à ce genre de labeur, que la vie serait douce !... Je « travaille » donc les seins de Maman, les croquant comme des fruits mûrs. Dans ses paroles, elle intercale les mots tendres et les mots crus, comme pour pimenter nos dialogues. Cette alternance sera désormais sa manière de s’exprimer durant nos ébats. — Continue comme çà, c’est excellent, tu me bouffes très bien les nibards ! Mais ne pense pas qu’à eux, tes mains sont inertes, tu peux les utiliser en même temps ! Pelote-moi, mon petit salaud d’amour, pelote ta putain ! Suivant toujours les précieux conseils, tout en continuant de dévorer les gros seins ...
    ... de Maman, je fais jouer mes mains sur ses cuisses, son dos, ses fesses rebondies, ses épaules. Sa peau se grêle soudain d’une légère chair de poule. — Tu as froid ? — Pas du tout, j’aurais même plutôt chaud. Mais tes caresses sont si agréables qu’elles me donnent le frisson. Ce genre de remarque, au contraire des précédentes, me donne beaucoup plus d’assurance. Je finis par enfouir mon visage entre ses seins, jusqu’à m’étouffer. Maman prend ma tête dans ses mains, et frotte ma figure sur toute sa poitrine, en appuyant très fort. Plaisir partagé, pour l’un et l’autre ! Elle me fait m’allonger, me branle brièvement, puis suce ma bite. J’en suis « déjà » à ma seconde fellation !... Elle s’y prend si bien que cette fois c’est à mon tour de lui faire un compliment graveleux : — Oh maman, comme tu me suces bien, vas-y, bouffe ma queue, qui bande pour toi. Après m’être fait pomper royalement quelques minutes, arrive l’instant crucial. Maman m’enjambe, s’installe à califourchon sur moi. Elle empoigne ma pine qu’elle masturbe encore un peu. Elle frotte le gland contre l’entrée de sa moule, pour bien le lubrifier avec son jus. Puis, avec une lenteur calculée, elle se laisse descendre sur moi. Je sens sa chatte s’ouvrir peu à peu, s’élargir sous la poussée de ma bite. Bientôt, Maman est emmanchée sur moi « jusqu’aux couilles » comme l’on dit. Nos toisons se mêlent. Elle reste immobile un long moment, comme pour mieux savourer l’instant de ma première pénétration. Exquises sensations ! ...
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