Un sacré numéro, notre nièce (1)
Datte: 15/05/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Occupé à mettre de l’ordre dans le séjour, alors que ma jeune épouse, Mélanie, 35 ans , dormait encore à cette heure matinale – il faut dire que c’était plus que nécessaire après la soirée d’hier, autant pour le ménage que pour le repos de ma tendre moitié –, je n’ai pas aperçu ma nièce Nathalie qui me regardait depuis l’encadrement de la porte. Nathalie, charmante jeune fille de 21 ans, est la fille de ma sœur Dominique. Du haut de son mètre quatre-vingt, Nathalie m’interpelle : « Dis, Tonton, quand tu auras fini de faire le ménage, tu pourras venir jeter un œil à la robinetterie de la salle de bain, je crois qu’il y a une fuite ! » Entendant le mot "fuite", je plaque tout et me précipite, sous le regard hilare de Nathalie, dans la salle d’eau qui se trouve à l’étage. Arrivé dans la salle de bain, je remarque que Nathalie avait pris soin d’entourer le robinet avec une serviette, pour contenir la fuite. « J’espère que je n’ai rien fait de mal ! », entendis-je, soudainement derrière moi. C’était ma nièce, presque apeurée… Et pourtant, je vous assure que jamais je n’ai eu la moindre remarque désobligeante envers elle… Je mets cette anxiété sur le compte de sa timidité et l’a rassure aussitôt : « Tu es géniale, en disposant la serviette autour du robinet, tu as fait en sorte qu’il n’y ait aucune infiltration d’eau dans la maison, parce que ces veilles bâtisses, c’est beau…, mais pas toujours très bien isolé ! Alors, merci, merci… ! » Sur ce, comme pour lui témoigner ma ...
... reconnaissance, je me dirige vers elle pour lui déposer une bise toute innocente sur sa joue. Mais, les deux mètres qui nous séparent sont suffisants pour que je porte un regard sur sa silhouette que je n’avais pas remarquée dans l’empressement de tout à l’heure. Et là, quelle surprise… Nathalie, qui avait manifestement envie de prendre un bain, n’est vêtue que de son léger peignoir de bain qui lui tombe en haut des cuisses et son échancrure laisse entrevoir une poitrine menue et d’une tenue à faire pâlir un hallebardier. À la vue de ma nièce, sous un jour nouveau, je ressens un léger trouble, mêlant tendresse affective et désir viril. Et, me rapprochant de plus en plus, elle remarque mon embarras, ce qui expliquerait son sourire mutin. Et, au moment de lui déposer un petit bisou sur sa joue, douce et lisse, Nathalie tourne légèrement son visage, avec, pour conséquence, que nos lèvres s’effleurent. Le temps que je réalise ce qui venait de se passer, je reprends mes distances en me reculant et en bafouillant, maladroitement, des excuses, aussi inutiles que ridicules. Et cela aussi, Nathalie – qui n’est pas née de la dernière pluie, ne suit-elle pas des études de médecine à la Faculté de Lausanne ? – , s’en aperçoit et, du coup, prend l’avantage dans nos échanges, comme dans un match de tennis. C’est elle qui est, désormais, au service, si je puis dire… Sa réaction ne se fait pas attendre. njqnxxmu « François (tiens, elle ne m’appelle plus Tonton – cela dit je préfère qu’elle utilise ...