Un sacré numéro, notre nièce (1)
Datte: 15/05/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... mon prénom), dit-elle, ne te mets pas dans un état pareil, c’est moi qui, maladroitement, ai tourné la tête, c’est à moi de m’excuser. Et au fait de quoi, un malheureux bisou…, ce n’est pas si grave et surtout, ce n’était pas désagréable ! » À cet instant, j’ai remarqué que c’était un service gagnant…, un "ace", même ! « Ce n’était pas désagréable... ! ». Culotée la gamine, elle 21 ans, insouciante et moi, 53 ans, expérimenté, habitué à garder mon sang-froid dans des circonstances variées et diverses, notamment en raison de mes responsabilités professionnelles et je reste là, comme un con, complètement désarçonné par sa dernière remarque… Vite, il faut que je trouve une parade « Bon, n’en parlons plus, je m’occupe de la plomberie si l’on ne veut pas noyer le rez-de-chaussée ! » Ouf…, me voilà tranquille pour un moment, à examiner ce qu’il s’est passé avec la robinetterie, à dévisser, nettoyer, changer le joint, remettre en état… Après une bonne demi-heure – je ne suis pas un pro du bricolage – , me voilà de retour dans le séjour, prêt à reprendre mes activités que j’avais délaissées pour venir au secours de ma nièce. Tiens, ma nièce, où est-elle cette coquine ? Pas dans le séjour, ni dans la cuisine, je remonte au 1er étage et je remarque que la porte de ma chambre à coucher est entrouverte. Bizarre, j’étais persuadé de l’avoir bien ...
... fermée pour éviter de réveiller Mélanie et la laisser se reposer. Il faut dire que nous avions bien fêté sa promotion. Devenue cheffe de clinique à l’Hôpital de Montreux, Mélanie, mon épouse adorée, avait insisté pour fêter cela en compagnie de Nathalie avec qui elle avait entamé une relation assez étroite depuis que les études de médecine de Nathalie les avaient naturellement rapprochées. Et même si je les ai trouvées bien complices hier soir, je n’aurai jamais imaginé que ce que je voyais puisse arriver… Nathalie, allongée dans le lit avec Mélanie, s’était assoupie. Un détail me laissait perplexe, elle avait retiré son peignoir qui gisait au pied du lit, ce qui ne manquerait pas de contrarier mon épouse qui ne supporte pas le moindre désordre dans sa maison. J’en déduis donc que Nathalie est nue ou presque – je ne pouvais pas en être certain dans la mesure où elle s’était glissée sous le drap – son visage frôlant la nuque de Mélanie, sa poitrine, son ventre et ses jambes posées contre le dos de mon épouse dont les 35 ans lui avaient façonné un corps de rêve. Sa peau mate – Mélanie est eurasienne – ses cheveux noirs, coupés au carré, lui donnent un air de femme décidée, sûre d’elle-même. Mais là, lorsqu’elle se réveillera, comment va-t-elle réagir à la présence déconcertante de notre nièce que nous adorons, mais quand même… A suivre...