1. Vacances en camping car (1)


    Datte: 15/05/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... bouffées de chaleur m’envahissent. Apparemment, je ne suis pas le seul à les avoir remarquer. -Oui, pourquoi ? Réponds-je, innocemment. -Tu transpires à grosses gouttes, et t’es tout rouge ! -Désolé, il fait une chaleur à crever, ici... Apparemment, cette excuse est crédible puisque ma mère retourne à sa grille de mots-croisés, aidé par mon père qui sirote en même temps une grande bière bien fraîche. Quant à Marion, ce bref échange avec ma mère ne semble pas l’avoir perturbée, puisqu’elle est toujours en train de se badigeonner les ongles d’un rouge pivoine. Ouf ! Si elle savait les pensées que j’ai pour elle en ce moment même, il est clair qu’elle me regarderait différemment... Après cette soirée agitée, riche en fantasmes et en images perverses concernant ma sœur, c’est après un rapide repas constitué essentiellement de charcuterie et de fromage que nous allons nous coucher. Il n’est même pas vingt-deux heures quand Marion et moi grimpons dans la capucine (non sans en avoir profité pour lui mater une nouvelle fois les fesses pendant qu’elle rejoignait notre perchoir) et, quelques secondes après, après avoir enlevé quelques vêtements, nous nous glissons chacun dans nos duvets. Quant à nos parents, ils disposent d’un grand lit dans le fond du camping-car. Pour avoir dormi dedans à quelques reprises lors de longs trajets, je sais à quel point celui-ci est peu confortable. Du coup, je suis très content de pouvoir profiter de cette capucine, et aussi, de la présence de Marion. ...
    ... Quelques secondes après, des ronflements retentissent, ce qui veut dire que notre père est déjà endormi. Tant mieux, car il veut se lever tôt demain matin pour reprendre la route. Avec Marion, nous dormons têtes bêches, c’est à dire que j’ai ces pieds à hauteur de mon visage, et elle a les miens à hauteur du sien. Seulement, je ne peux pas en profiter puisqu’ils sont cachés sous le duvet. Je ne peux donc que m’imaginer leur forme, leur odeur, leur beauté, leur... Non, il faut que je m’arrête, sinon, c’est un coup à avoir une nouvelle gaule d’enfer, et je ne voudrais pas que Marion s’en aperçoive. Mais c’est dur de ne pas se faire des films, surtout sachant qu’elle ne dort qu’à quelques centimètres de moi ! Et dire qu’hier encore, à cette heure-ci, je ne m’étais jamais fait de tels films avec ma sœur en tête d’affiche, qu’est-ce qui m’est arrivé en quelques heures pour que je fantasme à ce point sur elle ? Bref, après quelques minutes de concentration, j’arrive à reprendre mes esprits, et je me calme. Ensuite, Morphée me tend enfin les bras, et je le rejoint dans le pays des songes. C’est aux alentours de six heures du matin que mon père décide de reprendre la route, direction l’Espagne. Lorsque j’entends le moteur du camping-car rugir, et que je le sens avaler les premiers kilomètres de cette deuxième grosse journée de route, je me sens apaisé, et je me rendors tranquillement. Quelques heures après, je sens que ça s’agite à côté de moi. J’ouvre un œil, et j’aperçois Marion qui ...
«1...3456»