1. Vacances en camping car (1)


    Datte: 15/05/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... quinze minutes qui suivirent, nous papotons tranquillement et rions beaucoup, ce qui me change les idées, et ma bite commence à reprendre une taille normale. Ouf ! Soudain, le camping-car emprunte une route qui a l’air un peu cabossée, ce qui nous secoue un maximum, si bien que, sans le faire exprès, la main de Marion se pose sur ma fesse gauche. -Désolé, frangin, c’est la secousse ! Assure-t-elle en enlevant aussitôt sa main. -Il y a pas de mal, je réponds, sans penser que le pieu qui se trouvait entre mes jambes venait de se réveiller à nouveau à cause de ce bref contact. -T’as les fesses vachement dures ! S’il n’y avait que ça, suis-je tenté de répondre... -Ouais, je sais, à force d’être allé au lycée en vélo avant les vacances, ça m’a musclé le fessier. aqcappt -Et ben, c’est... impressionnant ! Je rigole, gêné par cette remarque, et aussitôt par le matelas de la capucine que j’ai peur de déformer, tant mon érection me fait mal. Vite, changeons de conversation ! -Tu devrais en faire autant, ça te ferait peut-être du bien ! Qu’est-ce qui m’a prit de dire ça ? Les fesses de ma sœur sont parfaites ! C’est très déplacé, comme remarque ! Elle me fixe donc pendant quelques ...
    ... secondes puis, finalement, elle rigole. -Elle est pas mal, celle-là, tu me l’avais encore jamais faite ! Me dit-elle. Je me force à rire également puis, nous repartons sur autre chose. Pour la deuxième fois en quelques minutes, mon érection disparaît, et me voilà donc soulagé. Après une heure de route supplémentaire, mon père décide de s’arrêter sur une aire pour prendre un petit-déjeuner, à quelques centaines de kilomètres de la frontière espagnole. Marion et moi descendons donc de notre perchoir puis, nous enfilons les premiers vêtements qui nous tombe sous la main, et nous suivons nos parents qui nous emmènent dans une petite cafétéria qui se trouve sur l’aire. Nous déjeunons donc rapidement de viennoiseries, café, jus d’orange et chocolat chaud. Quand mon regard se pose parfois sur Marion, j’ai l’impression que mes joues rougissent au quart de tour. Et quand elle me regarde à son tour et qu’elle me décroche un petit sourire, je ne sais plus où me mettre ! Heureusement, j’arrive à me contenir, et mes parents ne s’aperçoivent pas de ma gêne. Nous terminons donc notre petit-déjeuner, puis, après que chacun soit allé faire un tour aux toilettes, nous reprenons la route vers l’Espagne. 
«1...3456»