Tout feu, tout flamme
Datte: 15/05/2021,
Catégories:
f,
fh,
fplusag,
jeunes,
Inceste / Tabou
bain,
douche,
revede,
Masturbation
pénétratio,
mélo,
fantastiqu,
... par l’éducation nationale, tout ce qui aurait dû me détourner de lui, participait à la luxure joyeusement débridée qui avait pris possession de ma chatte. Aucune caresse n’arrivant à me calmer, la paix du corps ne semblait pas à portée de main, m’ôtant tout espoir de fermer l’œil à court terme. J’étais obnubilée par la présence de l’ado dans la tente d’à côté. Entre lui et moi, moins de trois mètres. Et un pompier. Mon pompier, qui ne pouvait rien faire pour le feu me dévorant. « Mon » pompier ? À cet instant, mes sentiments pour Marc Ginest avaient été engloutis par ce maelström de sensations charnelles, d’exigences impérieuses, convergeant à mon corps défendant vers Thomas. Pourtant, Marc avait tout de l’homme idéal, il représentait à mes yeux ce que j’avais toujours recherché dans une relation : la tendresse, la complicité, la stabilité, la respectabilité… bref, la promesse d’un amour ne demandant qu’à éclore, si possible avec un grand « A ». Face au désir incompréhensible qui m’avait asservi, ces attentes semblaient à présent bien ternes. Si au moins cet appel frénétique avait pris Marc pour cible ! J’en aurais chialé… Un simple contact avec l’étudiant m’avait transformée en véritable nymphomane… Que se passerait-il la prochaine fois qu’il poserait la main sur moi ? S’il essayait de m’embrasser, d’aller plus loin, m’y opposerais-je ? Je ne me faisais aucune illusion, je lui céderais. Je le savais comme une droguée sait qu’elle ne résistera pas à la tentation d’un nouveau ...
... shoot. Je répondrais à son baiser, à ses avances, quelle qu’elles soient. Malgré toute ma détermination je n’aurais plus qu’une envie, être à lui, à son entière disposition, prête à le combler et à assouvir tous ses fantasmes. Cette évocation, tout à la fois terrifiante et excitante, de ce que risquait de devenir ma vie sexuelle fit jaillir des images obscènes dans mon esprit. Et merde ! Je ne pus retenir mes doigts. Ils se propulsèrent d’eux-mêmes plus haut entre mes cuisses, vers mon intimité douloureuse à force de caresses. Essayant de contenir mes gémissements, je me fis jouir une énième fois. Épuisée, je m’endormis enfin dans les lourdes fragrances de plaisir piégées par la toile de l’igloo. --oOo-- J’étais allongée sur le ventre, à même le matelas, les poignets et les chevilles attachés aux montants d’un lit en fer. Aucun drap ne couvrait ma nudité. Au contraire, un édredon glissé sous mon bassin exposait en toute impudeur mes fesses et ma chatte. Deux hommes se tenaient aux côtés du lit, nus également. À ma droite, contemplant ma vulve entrouverte, Thomas se masturbait. À ma gauche, bras croisés, Fred me toisait, imperturbable malgré sa formidable érection. Leurs regards convergents sur mon intimité offerte en décuplaient l’embrasement. Une torture contre laquelle je ne pouvais rien. Ignorant mes demandes impérieuses, mes mimiques implorantes, aucun des deux mâles ne semblait vouloir agir. J’avais beau me contorsionner, contracter les muscles du périnée jusqu’à faire ...