Bronzette & brochettes
Datte: 15/05/2021,
Catégories:
fh,
Oral
fsodo,
couple,
... brochettes ! Et je pars dans la maison ; il n’est pas encore temps de lancer le feu. Ma chère femme n’a pas perdu son acidité, elle est toujours la grande spécialiste des petites remarques acerbes, qu’elle lance souvent, comme ça, par pur plaisir, sans réaliser que ça peut vexer son entourage. L’année dernière, à sa grande stupéfaction, Marine – une de ses meilleures copines – a explosé sous une remarque de trop : — Y en a marre, Karine ! Tu fais chier !— Mais… mais… tu me fais quoi, là ?— Je te plante, là, ras le bol ! Je me casse !— Mais !? Je disais ça pour rire, Marine, tu me connais, non ?— Tes trucs pour rire, tu peux te les mettre bien profond ! Bye ! Et elle était partie en claquant la porte, sous les yeux éberlués de ma femme. Plus tard, à tête reposée, je lui ai expliqué calmement qu’il vaut mieux éviter les allusions répétées aux baleines, aux éléphants, aux cachalots envers une copine de longue date qui fait tout son possible pour perdre un peu de poids et qui sort d’un gros problème sentimental. Depuis, Karine s’est un peu modérée. Après avoir lu quelques pages d’un livre, je décide que c’est l’heure de mettre en route le barbecue. J’embarque au passage la bouteille d’alcool à brûler, ça me facilitera la tâche. Quand j’arrive sur la terrasse, Karine est évidemment toute nue. Je me fais un plaisir de bien la zieuter quand je passe près d’elle avec mon sac de charbon. Elle ne bouge pas d’un cil, mais je suis prêt à parier qu’elle n’est pas mécontente que je joue ...
... les voyeurs. Lui tournant le dos, je m’occupe d’allumer le tout, aidé par quelques branchettes glanées ci et là. Je pense que là, c’est bon, et qu’en revenant dans quelques minutes ce sera idéal. — Tu t’en sors, homme de ma vie et de mes brochettes ?— Pourquoi je ne m’en sortirais pas ? C’est toujours moi qui m’occupe du barbecue, il me semble. À la longue, je commence à avoir de l’expérience !— Je demandais par pure curiosité, mon cher Hervé… Je m’approche d’elle : — Je pense que tu serais délicieuse, rôtie à point !— Tu as des envies cannibales ?— Tu es un beau morceau, tu me fais saliver !— Je préfère entendre ça que d’être sourde ! Mais je vais le prendre pour un compliment ! Prestement, je m’accroupis pour déposer un baiser appuyé sur son pubis, juste au-dessus de sa petite touffe. Elle s’exclame : — Hé, oh ! Pas tout de suite, la dégustation !— Tu as raison : il faut laisser cuire encore un peu, mais le goût est prometteur !— Morfale ! Et je repars dans la maison ; je ne pense pas qu’elle ait pu voir que je commençais à bander. Réservons ça pour un peu plus tard ! Pour l’instant, j’ai des brochettes à préparer, ainsi que quelques saucisses. C’est vite fait. Muni de mon plat, je retourne sur la terrasse ; ça commence à braiser. Plus que quelques minutes avant de poser tout ça sur la grille. — Alors, ce n’est pas encore cuit ?— Tu es bien impatiente ! Ce n’est pas encore le bon moment, à moins que tu aimes la viande aromatisée au suif de fumée !— Beurk ! J’ai faim, moi ! ...