Bronzette & brochettes - Histoires de Sexe

Bronzette & brochettes

... tu vois, quand tu veux… Après un dernier baiser sur mes lèvres, Karine se lève. Mon sexe poisseux coulisse hors de son intimité et retombe amorphe sur une de mes cuisses. Je respire bruyamment. Sa chatte est toute détrempée, dégoulinante, visqueuse de mon sperme qui s’échappe lentement d’elle. Ce qui offre un certain spectacle ! — Eh bien, mon salaud, tu m’en as mis partout ! Je croyais que tu t’étais vidé les couilles dans mon cul ?— Quand il s’agit de toi, ma chérie, il n’y en a jamais trop !— Eh bien, j’espère qu’après ça je vais avoir un peu la paix cet après-midi pour finir mon bouquin !— Jamais deux sans trois !— Pour l’instant, tu n’es plus en état !— Je te l’accorde, mais plus tard… pas de souci !— On verra ! À ma grande surprise, elle se penche sur moi, avale le bout de mon sexe ramolli et le suçote sans façon quelques secondes. Bien qu’au début, ma bite avachie ne réagisse pas, petit à petit elle se rigidifie. Je suis moi-même assez étonné, et de l’initiative de Karine, et de ma rapide remise en forme ! Soudain, Karine se redresse, fière d’elle, les lèvres luisantes : — Y a pas à dire, mais cette petite chose-là a du répondant ! Et avec lenteur, ondoyant du bassin, elle s’éloigne de moi, allant, je suppose, dans la salle de bain se nettoyer. J’attends qu’elle en ait fini pour faire de même. Pour l’instant, je récupère. Je comprends mieux pourquoi les hommes décèdent avant les femmes ! C’est de leur faire l’amour, et de se vider de la sorte ! Je soupire abondamment ; décidément, je ne comprends pas bien les femmes, voire même pas du tout ! Elles disent oui, elles disent non, font les effarouchées pour se comporter en vicieuses finies dix secondes plus tard… Néanmoins, j’espère que j’aurai l’occasion de refaire souvent ces prochains jours des brochettes au barbecue !