La conclusion
Datte: 16/05/2021,
Catégories:
fhh,
extraoffre,
cocus,
inconnu,
prost,
fsoumise,
hdomine,
chantage,
contrainte,
dispute,
strip,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
sm,
... regarde bien dans les yeux. Il s’activait drôlement et même si cela ne me faisait pas trop d’effet, ça m’essoufflait et je haletais. Il en conclut que j’aimais ça et me fit ses commentaires : — T’aimes ça, hein ! Michel m’avait prévenu que t’étais une vraie salope. Dis-moi que t’aimes ça… J’ai dû lui dire tout ce qu’il attendait et il me roulait pelle sur pelle. Il a fini par se fatiguer sans avoir éjaculé, et nous nous sommes endormis vers les trois heures du matin. Le lendemain matin, Michel vint me chercher dans la chambre vers huit heures. Philippe en écrasait et n’avait plus l’air décidé à consommer à nouveau, tant mieux. Nous déjeunâmes tous les deux et il me demanda de me rhabiller sans culotte et de l’attendre en bas de l’immeuble. Il revint quelques minutes plus tard et m’emmena au parking. Après avoir ouvert les portes de la voiture, il me fit monter à l’arrière en me déclarant : — Maintenant, je vais te reprendre en main. Chaque fois qu’un autre te baisera, tu y passeras. Dans la voiture, il me mit à quatre pattes, releva ma jupe et me pénétra. Il me fit jouir ainsi en levrette en me défonçant comme un forcené. Il exigea que je commente le plaisir que j’avais pris avec Philippe, que je lui dise si j’avais joui autant qu’avec lui, autant qu’avec David. Cela l’obsédait complètement. Après mon orgasme, il se plaça devant moi et me baisa par la bouche. Lorsqu’il fut sur le point d’éjaculer, il m’ordonna : — Avale tout, ma salope soumise qui vient de s’envoyer toute la ...
... nuit en l’air avec un autre. Je dus m’exécuter pour la troisième fois – et la dernière de ma vie– et le sucer après son orgasme pendant encore quelques minutes. Nous reprîmes nos places dans la voiture où il m’embrassa et me remercia : — Merci pour cette nuit, j’adore ça et tu es le meilleur coup que j’ai jamais connu. J’espère qu’on va continuer longtemps ensemble tous les deux. Je ne savais pas trop quoi répondre. Nous sommes allés ensuite dans le centre de Paris et avons flâné. À un moment, il m’a enserrée et j’ai senti une grosse bosse dans son blouson, à l’endroit du cœur. Quelque temps plus tard, nous sommes entrés dans une bijouterie, parce que j’avais vu une montre à la devanture qui me plaisait. — Je peux bien t’offrir ça. La montre valait quand même deux mille francs, et il sortit de sa poche intérieure une liasse de billets comme je n’en avais jamais vue. Sortant du magasin, j’étais inquiète de tout cet argent. Je flairai du louche et je lui fis la remarque : — Quand je t’ai embrassé hier, je n’ai pas senti tout cet argent dans ta poche, tu le sors d’où ? Sa réponse m’assassina : — C’est toi qui l’a gagné cette nuit ! Je suis tombée dans les pommes. Quand je suis revenue à moi, plein de gens m’entouraient et le SAMU est venu m’emporter. Je suis restée huit jours à l’hôpital en dépression. Je ne mangeais plus. J’ai tout raconté à ma grand-mère. Enfin, je lui ai raconté qu’il m’avait obligée à me prostituer, mais pas les détails sexuels. Il est venu me voir une fois, ...