1. Show


    Datte: 17/05/2021, Catégories: fh, jeunes, copains, amour, BDSM / Fétichisme Oral

    ... façon, tu préfèreras sans doute du sexe ! Heureusement que tu ne devais plus le revoir, ce pauvre con ! » Clac ! Il avait raccroché avec fureur. Je regardai mon téléphone portable d’un air stupéfait, comme s’il venait de me mordre. La gentille messagerie continuait à parler de sa belle voix automatisée, me demandant si je voulais enregistrer le message. Sûrement pas ! Je tapai "3" pour l’effacer, désagréablement surprise. — Un problème ? demanda Vincent en se levant.— Heu… j’en sais rien… je viens d’écouter un message de Jérémy, et je ne comprends rien à ce qu’il me dit. En plus il avait l’air furibard, ça ne lui ressemble pas. Hum. Tu as faim ? Peut-être que tu avais prévu de passer ta soirée avec quelqu’un d’autre ? Vincent me lança un coup d’œil surpris, avant de disparaître dans ma cabine de douche. — Sûrement pas, me répondit-il à travers le panneau vitré. Je suis tout à toi. Mmm. Chouette alors. J’ôtai mes dessous qui étaient dans un triste état, et mis de la musique. Puis je rejoignis Vincent sous la douche. Il m’attira contre lui, m’embrassa tendrement, et me massa le corps avec du gel douche, toujours en m’embrassant longuement. Nos yeux se croisèrent un instant. Nous nous contemplâmes, baignés par le jet puissant de l’eau chaude. Et je sus avec un cruel pincement au cœur que ça ne servait à rien de me bercer de rêverie. Vincent ne m’aimait pas. Il ne m’aimerait jamais. Je le lisais dans ses yeux, là, à cet instant, sans qu’il en ait conscience. Il m’aimait bien, ...
    ... il adorait faire l’amour avec moi. Ça s’arrêtait là. Et j’étais sûre que ça ne changerait plus jamais. Je lui fis un sourire que je voulus joyeux malgré tout. Autant savourer l’instant présent. Qui savait combien de temps je pourrais encore en profiter ? Quand il s’accroupit devant moi et ouvrit délicatement mes cuisses nues pour venir lécher le clitoris gorgé de sang, je fermai les yeux, écoutant les paroles de la chanson en arrière-fond. « Let the show begin, It’s a sorry sight, Let it all deceive, Now I’m, Pains in me that I’ve never found…» L’eau ruisselait sur mon visage. J’entrouvris les lèvres pour expirer un gémissement de plaisir. La langue de Vincent jouait avec ma chatte trempée, la titillait. Le jeune homme happa mon petit bourgeon érigé dans sa bouche et le suçota. Un cri m’échappa. J’avais les jambes en coton… « Let the show begin, Let the clouds roll, There’s a life to be found in this world, And now I see it’s all but a game, That we hope to achieve, What we can, What we will, What we did suddenly…» Je me laissai gagner par la jouissance, par la nostalgie aussi, que provoquaient les paroles douces amères de Beth Gibbons, à travers le bruit de la douche. J’avais l’impression d’être engluée dans une atmosphère lourde, étouffante. Je me mordis les lèvres. Vincent continuait à me lécher le sexe, tenant doucement mes cuisses entrouvertes de ses mains habiles. Puis un coup de langue plus violent me prit au dépourvu, et je jouis longuement, tremblante sous l’eau ...
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