1. En avril, ne te découvre pas d'un fil...


    Datte: 17/05/2021, Catégories: fh, hagé, extracon, grossexe, poilu(e)s, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, facial, Oral pénétratio, hdanus, extraconj,

    ... commerce n’est pas encore ouvert, nous pouvons fumer tranquillement.— Tu ne devrais pas : le tabac va abîmer tes jolis poumons ! répondit Dominique en riant, les yeux fixés sur ma poitrine. Réaction que j’attendais inconsciemment de sa part. Je me suis penchée pour chercher un cendrier sous le bar en gardant une main sur le bord de celui-ci. Persuadée du résultat, j’ai largement pris tout mon temps. J’étais sûre qu’ainsi il pouvait se régaler de la vision totale que je lui offrais de mes seins nus. Il devait même apercevoir mon ventre entre les globes lourds dont les pointes durcirent encore. Vous me considérez peut-être comme une salope, une nymphomane, ou pire ; mais vous ne pouvez pas savoir le plaisir que l’on peut éprouver dans ce genre de situation, admirée, désirée, quasiment offerte à tous les plaisirs charnels. C’était vraiment de la provocation de ma part, mais j’en étais à un tel point d’excitation que j’étais prête à tout pour calmer le feu qui brûlait mes joues, mes seins et mon ventre ! J’ai déposé le cendrier sur le bar puis me suis avancée vers la baie vitrée en m’étirant. Je sentais les yeux de Dominique sur mes reins… D’après moi, le soleil qui donnait sur la façade et la terrasse ne pouvait que rendre plus légère encore ma robe, la rendre aussi plus transparente. Je me pris à imaginer les bouleversements que j’avais peut-être créés dans son esprit et, surtout, sous sa combinaison de travail. D’un doigt, j’ai fait sauter un autre bouton du haut de ma robe, ...
    ... un aussi en bas. Curieuse, je me suis retournée brusquement. Gagné ! Dominique n’avait pas pu glisser un manche de pioche dans sa poche. Donc… J’eus la confirmation qu’il était monté comme un âne car sa braguette ressemblait à un chapiteau de cirque. Lui aussi se retourna (trop tard) vers le bar pour masquer son trouble. C’en était trop pour moi ! Je décidai de jouer mes derniers atouts. — Au fait… Avant que vous ne commenciez les travaux, je voulais te montrer des croquis que j’ai griffonnés hier soir après avoir vu les vôtres. Viens, ils sont sur le bureau dans l’arrière-salle.— OK, voyons ça…— C’est sympa, car je voulais vraiment ton avis. La baie vitrée refermée (je n’avais vraiment aucune envie d’être dérangée), je me suis assise au bureau, légèrement en retrait de façon à ce qu’il puisse apercevoir mes cuisses. Lui s’est installé à califourchon sur une chaise à ma gauche. Le bougre, il connaissait par cœur le sens d’ouverture des vêtements féminins ! Mes croquis ne devaient plus avoir aucun intérêt pour lui. Je le surveillais du coin de l’œil ; ses regards allaient de mes seins à mes cuisses, revenaient… Désormais, mon corps n’avait quasiment plus de secrets pour lui : il a pu détailler à loisir l’arrondi, la lourdeur, la fermeté de mes seins, le triangle de mon pubis. Peut-être même les quelques perles de rosée qui humidifiaient ma courte toison. Dominique s’est levé, accoudé sur le bureau, son visage à moins de vingt centimètres de moi, l’une de ses larges mains posée ...
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