1. En avril, ne te découvre pas d'un fil...


    Datte: 17/05/2021, Catégories: fh, hagé, extracon, grossexe, poilu(e)s, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, facial, Oral pénétratio, hdanus, extraconj,

    ... sur mes papiers. — Tes croquis sont très bien. Mais es-tu sûre que c’est cela que tu voulais me montrer ?— Pourquoi cette question ?— Depuis ce matin, j’en vois chaque instant un peu plus, et tu fais tout pour que cela empire ! Sa main a glissé sur le bureau, plongeant dans l’ouverture de ma robe jusque sur mon sein droit. Il s’est penché un peu plus ; ses lèvres vinrent frôler les miennes. Sa langue força doucement ma bouche. Je n’avais aucune envie de résister, et notre baiser fut assez… sauvage. Il a fait pivoter mon siège, m’amenant face à lui avant d’ouvrir totalement ma robe qui ne tenait plus que par quelques boutons. J’ai sursauté de plaisir quand sa seconde main s’est immiscée entre mes cuisses, partant à la découverte de ma fente humide. Une main pétrissant tendrement un sein, l’autre, le majeur enfoncé dans ma vulve bouillante, j’ai commencé à défaillir. De mon côté, ma main est partie à la recherche du mât qui tendait dangereusement sa tenue. J’ai tiré sur la fermeture Éclair de sa combinaison, découvrant la forêt vierge qui tapissait son torse, son ventre, pour arriver à une sorte de tronc surmonté d’une boule de billard ! Une erreur de la nature, le genre de chose que l’on ne voit qu’entre les pattes de certains animaux. J’ai serré les deux mains autour de ce sexe hors normes. Il était raide comme du bois, chaud, doux, il vibrait entre mes doigts. J’ai fait coulisser la peau du prépuce, libérant un gland brillant, rond et lisse. Après quelques caresses du ...
    ... bout des doigts, j’y ai posé mes lèvres. J’ai eu bien du mal à emboucher cet énorme gland dont j’avais pourtant tellement envie. Mais quelle sensation inouïe lorsqu’il vint se loger sur ma langue, butant sur mon palais, envahissant jusqu’à ma gorge. J’ai dû déglutir deux ou trois fois pour l’accepter enfin et déguster lentement ce beau fruit mûr, gorgé de sève. D’une main je m’activais sur la tige de marbre, de l’autre j’enveloppais deux noyaux enfermés dans leur bourse velue, lourds eux aussi comme des outres trop pleines. Dominique était enfin à moi ! Ce géant velu, musclé et fort comme un Turc était à ma merci. Je levai les yeux et plantai mon regard dans le sien, fière et orgueilleuse. Lui avait emprisonné mes deux seins dont il agaçait délicieusement les pointes dures tout en torturant tendrement les globes soyeux et gonflés. — Hummmm… Non seulement tu es belle, attirante, excitante, mais ta bouche est une merveille. Jamais je n’ai connu une telle caresse ! Abandonnant des lèvres le sexe arrogant, j’ai répondu : — Toi, tu as mis le feu dans ma tête ! Tu me fais faire des folies, mais il est trop tard pour reculer.— Tant mieux pour moi ! Et pour toi peut-être ? Sans répondre, je me suis jetée à nouveau sur lui, l’embouchant d’un trait cette fois. Je l’aspirais, le recrachais, le serrais entre mes lèvres à chaque va-et-vient. J’étais comme folle ! Lui grognait, soupirait, donnant de petits coups de reins pour tenter de m’investir plus encore. Plus il se démenait, plus cela ...
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