1. LE PAPILLON (1)


    Datte: 17/05/2021, Catégories: Hétéro

    ... Elle se retourne et me fait dos. Elle se positionne pile poil au-dessus de ma bite une main écartant son maillot de bain pour laisser entrevoir sa fente. Elle est trempée, luisante de mouille J’en étais sûr elle est bouillante. Elle veut que je la baise et elle n’a pas l’intention de s’embarrasser de préliminaires. J’attrape l’arrière de son maillot et le tient écarté moi aussi. Son cul m’apparait, magnifique, lisse, plissé et imberbe. Elle attrape ma queue de sa main droite et se tient en équilibre sur sa main gauche les jambes repliées. D’une flexion elle s’enfonce. Ma bite coulisse comme une tige de forage. Elle s’introduis telle une sonde dans une terre à explorer. Un gémissement se fait entendre. Ma bite est lubrifiée au maximum elle mouille comme chienne en chaleur. Elle se laisse retomber jusqu’à mes couilles et s’assoit presque sur mon chibre. Je la sens remuer d’avant en arrière alors que sa main vient relever les cheveux qui tombaient sur son visage. Le mouvement reprend, je vois les muscles de ses mollets se contracter en même temps que je vois ma queue réapparaitre, luisante de son jus. Il se fait régulier, elle monte puis redescend dans un rythme de plus en plus rapide. L’excitation est à son comble. On pourrait presque la sentir dans l’air. Ma queue palpite comme une bombe à retardement. Ma main se dirige vers son clitoris. Il est gonflé et elle tressaute dès que je commence à agiter mes doigts. Mon majeur et mon annulaire font un mouvement circulaire. Son ...
    ... souffle se fait bruyant et de plus en plus court. Je la sens au bord de l’orgasme. Elle a rejeté sa tête en arrière et ses cheveux caressent mon t-shirt plein de sueur. Je décide alors de prendre les choses en main. Je relève mon torse tout en laissant mon sexe au fond du sien. Je la porte à bout de bras et la retourne afin de poser son buste sur l’ilot central. D’une main je laisse glisser les bretelles de son maillot et je fais jaillir ses seins gonflés. Ses tétons sont tendus tels deux bites en érection. J’en pince un et elle laisse échapper un petit couinement. Je me retire de sa chatte et continue à la déshabiller. J’en profite pour retirer moi aussi mon t-shirt nous retrouvant tous les deux complètements nus. Elle se retourne et me lance : « Baise moi s’il te plait, fais-le maintenant, j’ai trop envie de ta queue au fond de moi…maintenant… s’il te plait » Elle me supplie presque je ne l’ai jamais vu comme ça. Je l’allonge par terre et la pilonne de toute mes forces. Le sol est froid et dur. Mes genoux sont en contact avec ce carrelage gelé mais au fond de moi un volcan fait rage. Ma femme m’excite comme un fou. Elle semble être quelqu’un d’autre, la même personne mais une dose de perversion en plus. Elle allait jouir sous ma queue au milieu de cette cuisine, sa voix raisonnante, emplissant la pièce de ces cris de plaisir. J’accentue mon coup de reins. Ma femme grogne, les yeux fermés, la bouche ouverte comme un poisson hors de l’eau à la recherche désespérée d’un peu d’air ...
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