La cassette
Datte: 18/05/2021,
Catégories:
fh,
extraoffre,
anniversai,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
Oral
légumes,
pénétratio,
fsodo,
jouet,
jeu,
champagne,
aliments,
yeuxbandés,
confession,
totalsexe,
couple+h,
jeux,
... pareille situation sans jamais avoir à me prononcer, à avouer un tel fantasme. … — Alanys ? Marc ? Vous êtes là ? Pierre rentre des courses, interrompant nos confidences, laissant Marc sur des charbons ardents et moi tout de même fortement troublée par cette conversation. Nous passons à table comme si de rien n’était, avec je le sens des regards lourds de la part de Marc. Pierre semble ne rien remarquer, ce qui m’étonne, vu sa finesse d’esprit pour ces choses-là. Puis nous poursuivons au salon, digestif et discussions animées et variées. Fourbue, je décide d’aller me coucher, laissant les deux compères en plein débat politique. Je ferme les yeux et plonge presque aussitôt dans une nuit troublée, où des scènes de la vidéo viennent hanter mes rêves, dans lesquels Marc s’est invité, Marc et son sexe énorme, gigantesque… Des caresses me font frissonner… Éveillée, endormie… Pierre est contre moi et ses mains parcourent mon corps… Ou rêvé-je encore ? — Mmm ! Mais qu’est-ce que tu fais ? Tu sais qu’il y a Marc à côté ! Il peut nous entendre !— Eh bien, ça lui donnera des idées pour ses prochains fantasmes.— Tu es dingue ! Sans parler qu’il vit là, ça pourrait être dangereux !— J’ai confiance en toi.— Pas moi !— Que veux-tu dire ?— Que j’ai des pulsions moi aussi, et me laisser toute seule avec lui tout excité, c’est jouer avec le feu !— Tu craquerais ?— Je ne veux pas te tromper.— Ce n’était pas vraiment ma question… Tu craquerais pour lui si on n’était pas ensemble ?— Oui, ...
... certainement !— Donc j’ai le droit de m’inquiéter.— Je te répète que je ne te tromperais pas mais que ça reste vachement délicat, surtout que tu lui as laissé toute ta collection de pornos et qu’il ne se gêne pas pour les regarder.— Tu crois qu’il a vu « notre » cassette ? Bien sûr, il ne me l’a pas dit directement, mais ses sous-entendus laissent peu de place au doute. — Arrête ! Mmmmm ! Pierre me connaît par cœur, et il sait ce qu’il doit faire pour que je ne sois plus qu’une poupée molle dans ses bras. — Tu es toute mouillée, coquine… Ça t’excite de parler de ça, hein ? Je retiens mes soupirs et dans le noir les mains qui me caressent n’ont plus d’identité. Des mains de mâle en train d’échauffer sa femelle. Les mains de Pierre, les mains de Marc… J’ai peur des rivages vers lesquels il veut m’emmener, mais ma libido me joue des tours. Ces caresses de plus en plus précises, ces mains qui me pétrissent gagnent peu à peu le combat. Tout à coup, tous mes sens sont en alerte. Un courant d’air ? Un grincement de porte, un couinement de parquet ? Une raie de lumière dans l’obscurité ? Une respiration… Je suis pétrifiée… Je bloque les mains de Pierre là où elles se trouvent. Ses doigts continuent sournoisement à me supplicier… — Arrête !— Pourquoi ? Je sais que tu en as envie, tu es trempée ! Je murmure : — La porte… Il me murmure : — Laisse-le regarder, on fait comme si… Nous essayons d’être silencieux, je ne veux pas qu’il sache que nous l’avons découvert. — Tu es fou. Je ne veux pas.— ...