1. La cassette


    Datte: 18/05/2021, Catégories: fh, extraoffre, anniversai, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, Oral légumes, pénétratio, fsodo, jouet, jeu, champagne, aliments, yeuxbandés, confession, totalsexe, couple+h, jeux,

    ... Il regarde, il s’excite, tout le monde s’amuse…— Je ne veux pas franchir ce pas… Pas maintenant.— Mais plus tard… ma cochonne adorée ? Alors on va le faire patienter mais il en aura pour son argent. Il va souffrir tu sais ?— Chut ! Et il reprend ses caresses de plus belle, et un peu rassurée, je me laisse aller d’avantage. Mais je n’avouerai pas ma complicité. Je n’ai rien vu. C’est moi qui suis du côté de la porte. Insidieusement, Pierre tire les couvertures à lui. Je résiste, gardant mes épaules couvertes, étant en chien de fusil, mon visage tourné vers lui. Ainsi mes soupirs sont dirigés vers mon homme et je peux lui parler très doucement. Quelle contrainte que le silence ! Aussi excitante que d’avoir les yeux bandés ou les mains liées. Ce qui d’ailleurs n’est pas loin de la réalité, étant donné que j’essaie de bouger le moins possible, d’avoir le souffle régulier, souhaitant vraiment faire croire que je suis endormie. Pierre tire encore sur le drap, dernier rempart de ma nudité. Je sens l’air frais envelopper mes hanches comme une délivrance. La fraîcheur que je ressens sur mes fesses se transforme en chaleur sur mes joues et dans tout mon corps. Marc est-il vraiment là, en train d’observer mes fesses blanches dans la nuit ? Ou suis-je en train de fantasmer ? Mon plaisir coule littéralement entre mes cuisses, d’autant plus que Pierre continue ses investigations. Sa main ferme se pose doucement sur ma cuisse. Il tire vers lui, me forçant à m’allonger, à plat ventre. Sa ...
    ... main me caresse les fesses, les cuisses, remonte, s’insinue et tire encore vers lui, doucement, fermement, m’obligeant à m’ouvrir. Ainsi allongée je me cache, je ne vois rien, et dans l’obscurité de la chambre Marc ne devrait rien voir non plus. Il me caresse désormais, vraiment, intimement. Je relève un genou, je m’ouvre d’avantage, je m’offre d’avantage. — Ne bouge pas ! me dit-il. Je l’entends farfouiller dans sa table de nuit. Puis je sens un objet pointer entre mes cuisses et s’appliquer contre mes lèvres. Une pression et hop ! Il disparaît dans ma chatte. D’après ce que je ressens, on dirait un œuf, dans la taille comme dans la forme. Puis sans aucun contact de Pierre, je le sens ressortir doucement, comme si on le retirait à l’aide d’une ficelle. Puis un doigt le pousse à nouveau, et après une légère hésitation, l’œuf reprend sa place à l’intérieur de moi. Puis plus rien… quasiment rien, si ce n’est un imperceptible chatouillis au plus intime de moi-même. Une très légère vibration, inaudible, qui enfle doucement. L’œuf doit appuyer sur mon point G car je ne tarde pas à m’agiter sérieusement… Tout en essayant de continuer à donner le change de la belle endormie. Pierre doit avoir la commande de l’objet en main car il tremble de plus en plus fort au fond de moi et j’ai vraiment du mal à rester stoïque. Je chuchote à l’oreille de Pierre qui est tout contre moi : — Arrête ça ! Je vais jouir…— Oui ma chérie… Jouis en silence ! Mais ne bouge pas ! Contiens-toi ! L’épreuve est ...
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