La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°907)
Datte: 19/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Marion au Château – (suite de l'épisode N°898) – J’avais désobéi aux Invités du Maître, j’allais le décevoir, je ne doutais pas que j’allais passer un mauvais moment. Je me dépêchais néanmoins. Lorsque je sortis de la salle de bain, aucun des deux hommes ne me regarda, seulement l’un d’eux me désigna la porte. Je sortis et allais donc vers la pièce où Il m’attendait. Je tremblais comme une feuille lorsque je frappais à la porte du bureau du Maître et patientais qu’Il me donne l’autorisation d’entrée. Sur son ordre, je passais le pas de la porte et me prosternais en m’aplatissant le plus possible au sol mes épaules et ma tête, tout en relevant ma croupe en levrette prosternée. Il se planta devant moi, je voyais le bout de Ses pieds. Il resta là, sans un bruit, sans un mot. Le silence était pesant, je le percevais comme un reproche. Quand Sa voix s’éleva enfin, elle était dure, sèche, cinglante. - Je n’apprécie pas de perdre un pari, chienne ! Surtout lorsqu’il s’agit de l’éducation d’une de Mes soumises ! … Il parlait lentement, pesant chacun de Ses mots, qui chacun me touchait tel un coup de fouet Puis il s’arrêta en reprenant ce lourd silence. Je le sentais en train de me dévisager, de me jauger, de m’ausculter de Son puissant regard Dominant de toute Sa hauteur, me fixant du bout de mes orteils jusqu’à l’extrémité des doigts de mes mains bien plaquées en avant. Puis il se remit à parler toujours en pesant ses mots : - … Je t’assure que tu vas regretter d’avoir joui pendant ...
... quelques secondes. Ce que tu vas endurer va durer bien plus longtemps, crois-moi sur parole ! Je tremblai de plus belle. J’espérais de tout cœur qu’Il ne me renvoie pas, à l’instar du soumis qui avait été renvoyé le matin, durant un mois. Je gardais une position parfaite, ne voulant pas aggraver mon cas, aux tremblements prêts que je ne pouvais réfréner. Le silence retomba à nouveau, encore une fois, me faisant redouter d’autant plus la sanction qui n’allait pas tarder à tomber. - Il est dix-neuf heures. Ce soir tu es au service de Marie, donc tu vas te dépêcher d’aller aux cuisines ! La première partie de ta punition commencera avec elle. Elle se poursuivra demain matin et se terminera demain après-midi. Tu ne sauras pas en quoi elle consiste, tant que tu n’y seras pas confrontée. Si ! Je vais t’en révéler une partie… Je suis réellement déçu et insatisfait ! Tant que cela durera, Je ne veux pas te voir. Demain, tu passes ta journée en sanction avec Walter. Ensuite, tu viendras travailler dans ton « bureau ». Dès que tu entreras dans la pièce, tu fermeras la porte qui communique avec le mien. Et tant que tu ne m’en entendras pas sortir, tu n’auras pas le droit de quitter le tien. Tant pis, si cela te fait sauter un repas si j’ai trop de travail pour sortir ! … Maintenant, va la chienne, Je ne te veux plus dans mon champ de vision ! Je partis les larmes aux yeux, le cœur serré ! Il ne voulait plus de moi à Ses pieds pendant un temps indéfini… Malgré tout, au moins j’avais la ...