La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°907)
Datte: 19/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... détacher, elle s’appliqua à me donner les dix coups promis sur mes fesses et le dos. Je serrais les dents, ne laissant sortir aucun son, aucun gémissement, mais ne pouvant pas m’empêcher de bouger, me faisant horriblement mal au cul. Mais je n’arrivais pas à me contrôler, c’était une torture ! Cependant, paradoxalement, je sentais ma chatte se lubrifier par la situation de contrainte, d’autant plus que le gode vibrant était toujours en fonction. Je comprenais mieux les interdictions de Marie… Minuit approchait, et je ne pouvais toujours pas retenir mes cris de surprise lorsque le gode se mettait en route. J’étais de plus en plus excitée au fur et à mesure des coups de badines que je recevais, et Marie faisait de plus varier les vibrations, les intensifiant de plus en plus, me menant toujours plus près de l’orgasme. Je savais que si je ne parvenais pas à maîtriser mes cris de surprise, je n’allais pas tarder à jouir. Et parallèlement je souffrais des genoux, des cuisses, et des bras ankylosés. Car après avoir lavé la montagne impressionnante de vaisselle, à genoux, la cuisinière m’octroya un seau d’eau chaude moussant, une brosse à récurer et la serpillère à passer toujours dans la même position agenouillée, sur le carrelage à nettoyer, à la différence près que je n’avais plus le plug enfoncé dans le cul, pendant ce temps-là… Et c’était sans compter les interruptions de Marie la cuisinière. En levrette, elle m’encula après avoir passé un gode ceinture, en ayant évidemment ...
... mis en route le gode de ma ceinture de chasteté (cette fois-ci sans que je n’émette le moindre son !), sans jouir, malgré que ce fut très très difficile de me contenir ! À un moment, elle m’interrompit dans le ménage, me tirant la tête par les cheveux, me la plaquant entre ses jambes, jusqu’à ce que je la fasse jouir avec ma langue enfoncée entre ses lèvres intimes. Parfois, elle m’ordonnait de prendre telle ou telle position, juste pour le plaisir de me voir immobile dans une position peu confortable, mettant toujours le gode en puissance maximale, ne manquant jamais de me faire pousser cris ou gémissements, provoquant invariablement les coups de badine de la maîtresse de la cuisine. À une heure du matin, enfin, tellement fatiguée et exténuée, je fus incapable ne serait-ce que d’avoir un sursaut lorsque Marie appuya sur la télécommande, et cela trois fois d’affilées. - Eh bien ! Si tu ne veux pas finir par tomber d’épuisement, il va falloir que tu retiennes les sanctions plus vite que cela ! Mais au moins tu auras réussi à arrêter de brailler. File dans ta niche maintenant. Walter doit t’attendre pour fermer le Chenil et il ne va pas être content d’avoir dû t’attendre encore une fois au vue de l’heure tardive ! Je me dépêchais tant bien que mal, à quatre pattes, malgré les douleurs intenses de mes muscles et de mes articulations, de retrouver ma niche. Effectivement, Walter, prévenu par la cuisinière, se tenait devant la grille debout les bras croisés, en tapotant du pied, ...