1. La conquête de Camille


    Datte: 19/05/2021, Catégories: fh, ff, fplusag, jeunes, extracon, voisins, grosseins, collection, amour, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, photofilm, BDSM / Fétichisme Masturbation entreseins, facial, Oral fgode, fdanus, fsodo, sm, attache, yeuxbandés, amourdura, totalsexe, bourge,

    ... proportions raisonnables. Quand ma langue pénétra son petit anus, je sentis que j’étais prêt. Après une minute de ce traitement, je me redressai et pris la selle dans une main. Camille me positionna dans l’axe et je poussais. Le gland passa d’un coup, et le reste de ma pine rentra lentement entre ses fesses. Je la ramonais pendant dix bonnes minutes et sentis l’orgasme pointer timidement deux fois sans éclater. Camille tourna la tête et me dit, la télécommande de sa télé dans la main : — Il faut quelque chose de motivant, je crois. Et soudain, la télé se mit en marche. À l’écran, le film tourné au même endroit la veille avec Clémence et Nicole. Camille me regardait, mon foutre encore dans les cheveux. Je me mis alors à la prendre plus sauvagement, plantant mes ongles dans son ravissant petit cul bronzé, les yeux sur l’écran. Je n’enculais plus Camille, j’étais en train de sodomiser Clémence comme hier. Je me mis à souffler bruyamment. — Prends ça, salope, tu la sens ma queue.— Oh oui, je la sens, elle grossit encore !— Je vais t’éclater les fesses, tu vas voir.— DÉFONCE-MOI LE CUL ! Oh oui, comme ça ! Je tirais sur la laisse, la faisant se cambrer en même temps que je la bourrais furieusement. Je pris deux longues mèches blondes dans mes mains et lâchai la chaîne, me servant désormais de ses cheveux pour guider mes assauts de plus en plus furieux. Je vis le visage de Clémence devant moi et j’éclatais, remplissant le cul de Camille d’une quantité insoupçonnable de foutre. ...
    ... Elle se finit en se caressant la chatte, ma queue toujours dans son cul et, une minute plus tard éclata d’un râle bestial avant de devenir toute molle dans mes bras. Je détachai le collier et me couchai contre le corps chaud de Camille. Mais je m’endormis avec le nom de Clémence sur les lèvres. J’ai épousé Clémence environ un an plus tard. Le soir de notre nuit de noces, elle m’avoua, fébrile, qu’elle m’avait menti depuis le début : elle n’était pas plus vierge quand elle m’avait rencontré qu’aujourd’hui. Mais elle voulait être sûre de mon engagement, certaine que si j’étais prêt à l’épouser pour avoir sa virginité c’est que j’étais soit un pervers sans nom, soit amoureux d’elle. Je lui fis remarquer que son stratagème n’excluait pas la première possibilité, ce à quoi elle répondit en m’embrassant qu’elle espérait bien que j’étais aussi amoureux que pervers. Aujourd’hui, nous vivons en Vendée dans une vieille maison que nous retapons lentement. Nous voyons aussi peu que possible ma belle-famille, qui n’a pas été spécialement ravie de notre mariage, et préférons nous occuper de nos deux magnifiques enfants. Notre vie sexuelle reste formidable, malgré l’installation d’une légère routine que nous combattons de nos imaginations conjuguées. Je n’ai jamais trompé Clémence et chaque fois que j’ai envie d’une autre femme, je lui en parle et lui demande son avis. À deux reprises, nous sommes même tombés d’accord pour l’essayer ensemble. Hélène, aujourd’hui ma tante par alliance, est ...
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