Remplacement - 2/2
Datte: 19/05/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... beau une queue ! Et la sienne, mes aïeux ! Pas seulement à cause de la taille ! Mais tout ! La proportion, l’aspect … Et en plus il a pas un poil ! ni sur les pectoraux ni sur les cuisses, ni sur le ventre à la racine de la verge ni sur les couilles. Une jolie peau toute lisse toute noire, et au bout un gros bourgeon gonflé rose brun découvert, un bourrelet violacé à la base, la peau plus claire juste en-dessous et le petits replis de peau de la circoncision. Ouais, une belle queue ! Pour ce qui est de la taille, elle aurait pu faire peur. Si, je vous assure ! Milou, je vous ai dit, est pas mal monté lui aussi, et comme je l’avais vu sodomiser Christelle, j’ai pas vraiment eu peur d’avoir mal quand il m’a demandé s’il pouvait. Avec Baka … j’attendrai un peu ! Etre sûre d’être prête … Christelle … elle aime bien jouer de ses doigts au creux de mes reins. De ses doigts ? De sa main toute entière si je la laissais faire … elle insiste … c’est bizarre, mais figurez-vous que j’aime bien ça … choqués ? Pas dans ma chatte, ça je veux pas ! Pourquoi ? C’est comme ça … je préfère qu’elle joue entre mes fesses ! Baka … il n’osait pas bouger, les bras écartés du corps, les muscles des cuisses crispés de tension. Moi je ne regardais que sa verge dressée, dessous contre ses cuisses ses couilles roulaient doucement sous la peau fripée, montaient et redescendait au rythme de ses contractions de nervosité. J’ai tout pris en main en même temps, sa queue dont je ne faisais même pas le tour ...
... de mes doigts, ses couilles toutes chaudes et lourdes au creux de ma main. Je ne l’ai pas branlé bien longtemps avant qu’il gicle à longs traits qui m’arrosaient les joues et les seins. Je me suis relevée en me tenant à ses cuisses. Il est à peine plus grand que moi. Je me collais contre lui pour l’embrasser. Je sentais son sexe dressé entre nous contre mon ventre encore tout raide et tendu pendant que je l’embrassais. Il a refermé ses bras sur moi, ses mains dans mon dos qui m’effleuraient à peine, comme s’il n’osait pas malgré ce que je venais de faire et malgré le baiser, malgré mes seins pressés contre ses pectoraux et sa verge dressée pressée contre mon ventre. J’ai fait durer le baiser jusqu’à ce qu’il ne tremble plus, jusqu’à ce qu’il me le rende, jusqu’à que je sente que ses grandes mains plus fermes dans mon dos me caresse tout doucement. Je n’avais qu’une envie, le sentir en moi, qu’il pose vraiment ses mains sur mes seins et mon ventre, qu’il me fasse l’amour, là, tout de suite. Mais le temps filait. Il n’était pas question que les autres nous trouvent nus tous les deux sous la douche. La première je suis retournée vers le vestiaire en ramassant mes affaires mouillées au passage. Je venais à peine de traverser le couloir pour aller dans le vestiaire des arbitres que j’utilisais pour me changer quand j’ai entendu le bruit des crampons de ceux qui revenaient de l’entraînement. Jean-Mi est venu frapper à la porte : — Ça va, Bakari ? — Une béquille, pas grave. Quand il ...