Venise en cadeau défendu
Datte: 20/05/2021,
Catégories:
fh,
cadeau,
fépilée,
vacances,
hotel,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fsodo,
yeuxbandés,
init,
amourpass,
... yeux, à mes mains si je l’ose. Elle soupire légèrement. Inlassablement, lentement, je tire ce voile, je démasque son sein gauche, cette merveille. Le mamelon est tendu, la pointe en darde fièrement, je suis troublé et terriblement ému, cette vision est pour moi comme une redécouverte de son corps, j’en éprouve les mêmes sensations, comme si c’était une nouvelle première fois. Du bout de mes doigts j’effleure la peau claire de ce sein,ma merveille, tu dois à peine les sentir, je m’approche de sa pointe si fière, un soupir encore, hum… Ce soupir, ta tête qui se tourne légèrement, la vision de ton corps, ont déchaîné en moi un terrible émoi. Mon sexe tendu perle déjà de désir pour toi ma déesse, bientôt peut-être tu sortiras de ta langueur, mais laisse-moi te découvrir encore. Décidément, ce voile dont tu t’es couverte m’inspire énormément, je le tire à nouveau, toujours lentement, mais maintenant ma cible, ma déesse, c’est ton mont de Vénus, la source principale de ton plaisir. Centimètre après centimètre il glisse sur ta toison de reine, couleur ébène. Je vois par transparence ta vulve entièrement lisse, ses lèvres très légèrement ouvertes me réclament un baiser, mais pas tout de suite mon trésor, j’ai tant à découvrir de toi encore. Pendant de longues minutes, je caresse ta peau si douce, j’y fais glisser la pulpe de mes doigts, et y dépose des baisers, tantôt chastes, tantôt langoureux. Je m’enhardis et mes caresses se font plus appuyées, plus empressées, plus décisives ...
... également. Je connais ces endroits de ton corps qui t’électrisent, qui t’ouvrent les chemins du désir, et je sais que tu les empruntes déjà, en ce moment même. Je flatte ces endroits, un frôlement de l’aine, un effleurement dans le cou, un souffle chaud sur ton sexe. Je souris, malgré toi peut-être, ton bassin ondule déjà imperceptiblement, alors je pose ma main en coupe sur ton sexe, je le couvre entièrement, quelle douce chaleur, je le masse légèrement pour te découvrir mouillée de désir.Tu me désires, ma déesse, moi aussi tu le sais. Mon visage est maintenant à quelques centimètres de ton sexe, je le hume, le respire, comme si c’était mon oxygène, comme si ma vie en dépendait. J’y dépose le bout de ma langue, il est braise de désir. Tu respires plus fort. Je sens tes mains sur ma tête, tu veux mes baisers, tu veux mes lèvres et ma langue, tu me guides vers toi, vers ta source, je n’en puis plus d’attendre moi non plus. Alors, en silence, je t’obéis, avec empressement, je glisse mes lèvres vers tes trésors intimes, et je bois à ta source en t’avalant bruyamment pour que tu comprennes que je ne veux rien perdre, que je prends tout de toi, comme un symbole d’amour total. Tu es un délice, ton nectar est jouvence. J’en cueille chaque vague que je fais naître de ma langue intrépide. Quelqu’un disait, l’amour oral, plus que la pénétration, est le moyen le plus vrai pour se donner, s’abandonner et pour recevoir de l’autre. Je suis un inconditionnel de celui-là. Et, ma déesse, je suis ...