1. Cocu... volontaire vraiment ? 1


    Datte: 06/11/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... Ah! Il est couvert de nos fluides. Bon, tu sais ce que c’est : juste un peu de cyprine et un peu de sperme. Regarde, je nettoie son épée. Sans gêne aucune Angèle enfourne entre ses mâchoires grandes ouvertes un bout impressionnant du sexe et retire sa tête en serrant ses lèvres autour du cylindre qui ressort nettoyé. - Tiens, touche. Mais si…Je le permets et René en sera tout heureux…Avec les deux mains, ne sois pas timide. René ne te fera pas de mal. Je ferme une main sur ce rouleau à la peau douce certes mais dur comme du bois et sortant du four. Je pose mon autre main à la base de l’instrument prodigieux. Il s’en dégage une sensation de force sensationnelle et il réagit comme un ressort vers la verticale. Angèle entoure mes mains avec les siennes. Et dit : - Alors, qu’en dis-tu ? Tu le sens palpiter sous tes doigts ? N’ai-je pas raison de lui rendre hommage. Tu rougis ? Tu voudrais l’essayer ? Tu comprendras mieux s’il te ramone la chatière. C’est divin Précipitamment je fais non de la tête. Elle se moque de ma retenue. - Aujourd’hui je l’ai déjà beaucoup fatigué, mais il a une tenue solide. Un jour je te le prêterai. René, tu aimerais faire plaisir à mon amie ? Le grand diable à la bite terrible fait oui et baisse les yeux. J’ai trouvé plus intimidé que moi. J’ai toujours sa masse rude et chaude entre les doigts, à l’intérieur des mains d’ Angèle. Tiens, elle ignore mon refus, veut me persuader. Angèle imprime un mouvement à mes mains, les fait glisser vers les ...
    ... testicules ou remonter vers le gland et elle recommence . Cela dure. Je n’oppose pas de résistance, captivée par le côté insolite de la situation. Moi, épouse fidèle, je suis en train de masturber à deux mains le sexe d’un inconnu, un sexe si étrange. Suis-je folle d’y prendre plaisir ? J’examine le visage de l’homme, je vois ses traits se durcir, se figer et tout à coup la verge est prise de convulsions, tressaille et envoie quatre ou cinq giclées blanches sur nos visages et sur les seins d’Angèle tandis que le mâle rugit. - « Allez, quand il y en a pour une, il y en a pour deux » récite mon amie. Lèche mes nénés et dis-moi si ce nectar à la saveur d’amande n’est pas la meilleure liqueur du monde. En veux-tu une rasade dans le con, ma cocotte ? - Non, pas maintenant. Je dois rentrer chez moi. Jean va m’attendre…et j’ai du repassage à terminer. Le truc m’effraie un peu et puis j’aime mon mari. Je réponds n’importe quoi pour fuir la terrible tentation et éteindre les étincelles de désir qui embrasent mon ventre; - Tu ne perds rien pour attendre. Ne fuis pas, regarde plutôt Angèle fait asseoir son amant, enjambe ses cuisses, empoigne la massue à peine ramollie, vise et la dirige vers sa fente : - Oh ! Que ça fait du bien de se laisser descendre sur la barre fixe. Viens, c’est ton tour. Prise de panique à l’idée d’être empalée sur ce sexe trop dur, trop gros ou de sentir exploser en moi un feu d’artifices de sperme je bats en retraite, les mains brûlantes et tremblantes. Je rentre toute ...