La fille de ma meilleure amie
Datte: 21/05/2021,
Catégories:
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jeunes,
couplus,
fépilée,
vacances,
plage,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
init,
exercice,
confession,
totalsexe,
... de les rejoindre. Je n’en fus pas blessée, juste un peu jalouse. — Tu veux y aller ?— Non, c’est bon, ils sont déjà deux.— Si tu penses que Jean-Paul a accepté qu’elle vienne parce qu’il avait besoin d’aide… Tu te trompes… lui soufflai-je. Elle sourit simplement, puis se lova à nouveau contre moi. — C’était merveilleux, murmura-t-elle. Aucun garçon ne m’a jamais fait jouir comme tu l’as fait avec ta bouche.— Ni aucune fille, j’espère ? Elle rit. — Non, aucune fille non plus. Même si ça avait été très bon, avec ma première.— Ta première, c’était Marcela, c’est ça ?— Oui, répondit-elle en pouffant.— Comment vous êtes-vous décidées ?— C’est venu tout seul, un soir, il y a deux ans. On dormait ensemble chez ses parents. On avait passé la soirée à regarder des films de cul sur son PC. Puis ça a dégénéré.— Comment ?— On en est arrivé à parcourir les films lesbiens. Au début, on rigolait beaucoup, puis de moins en moins. On s’est regardé et hop ! C’est parti !— Laquelle a embrassé l’autre en premier ?— C’est moi. Ça faisait vraiment très longtemps que j’avais envie d’essayer avec elle. Comme avec toi.— Ah bon ? Tu me flattes… Mais pour moi aussi, cela fait un peu plus d’un an que je te désire. Tu l’as ressenti ?— Non, enfin, oui… J’étais pas sûre. Je me souviens qu’une fois, en venant chez toi, je m’étais branlée dans ta chambre en pensant à toi. Ça me rendait folle de t’imaginer entre mes cuisses, mais ça me rendait encore plus folle d’imaginer ton sexe… Je laissai ces mots ...
... s’évanouir dans le calme de la nuit, savourant leur signification. Nous sommes restées longtemps, l’une contre l’autre, à écouter le bruit discret de la pompe de la piscine, les stridulations des grillons et le souffle de l’autre. Puis elle m’a dit : — Tu crois qu’on arriverait à temps pour se joindre à eux ? Je suis encore très excitée…— Ma foi, le connaissant, il doit en être à finir les préliminaires. Tu veux qu’on y aille ? Elle hocha la tête et nous avons rejoint la maison, nues, main dans la main. Avant même d’entrer, nous entendions les gémissements de Marcela. C’est sur le plan de travail, au centre de la cuisine, qu’il était en train de la prendre, allongée, les jambes repliées au-dessus d’elle. Le corps nerveux de Jean-Paul était tendu comme un arc, les muscles de ses fesses saillaient à chaque coup de reins qu’il lui assenait. À côté d’eux gisait un tube de crème chantilly dont je ne connaissais que trop bien l’usage qu’il savait en faire… Je sentis Marion prête à les rejoindre. C’était beau de lire dans ses yeux cette soif de découverte. Alors, avant qu’elle ne soit davantage tentée de le faire, je l’agrippai par les hanches et l’attirai à moi. — Je sais que tu veux le goûter, toi aussi. Et tu l’auras. Mais pas ce soir. Ce soir, c’est moi qui vais te faire jouir. Toute la nuit… Marion me regarda un instant, ne sachant quoi dire. Alors elle me donna la meilleure réponse qui soit : suspendue à mon cou, ses lèvres se rapprochèrent des miennes… Ce soir, elle est mienne.