1. Hétéro tenté... le goût du risque.


    Datte: 06/11/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... tellement bien, juste, j’ai posé mes mains sur sa tête pour lui caresser tendrement les cheveux. J’ouvre les yeux, je baisse la tête pour regarder mon sexe entrer et ressortir tout luisant de sa bouche, il lève les yeux et me fixe tout en esquissant un sourire que je lui rends. Il me fait une fellation extraordinaire, d’un coup, je le vois ouvrir la bouche en grand, me saisir par les hanches et avancer vers moi, toujours plus, je sens mon gland buter dans le fond de sa bouche, heurter la glotte et finalement passer pour entrer dans sa gorge. Son nez est collé à mes poils pubiens, mes couilles s’écrasent sur son menton. Instinctivement, mes mains se sont crispées sur sa tête pour appuyer et l’entraîner dans cette gorge profonde. C’est tellement bon, je le bloque comme ça pendant de longues secondes puis je relâche sa tête, il ressort, tousse, des larmes coulent sur ses joues, de la salive tombe au sol, il inspire et, sans lui laisser le temps de réagir, j’appuie à nouveau sur sa tête et je retourne dans sa gorge. On fait ça 5 ou 6 fois de suite puis je me mets à lui pilonner la bouche, d’abord doucement puis de plus en plus vite et de plus en plus brutalement. Je lui baise littéralement la gueule, je ne peux plus m’arrêter, il est coincé, dos au mur, il est à ma merci et j’en profite pleinement. Je ne sais pas combien de temps ça a duré mais, au même moment, j’ai entendu quelqu’un faire tourner la poignée puis frapper juste au moment où mon plaisir arrivait, j’ai posé mes ...
    ... mains sur ses joues et j’ai éjaculé tout mon foutre dans sa bouche. J’ai cru que je ne m’arrêterais jamais tandis que les coups à la porte se faisaient plus forts. Julien avalait mon jus comme un affamé, j’aurais voulu en profiter un peu plus mais le temps nous manquait cruellement. Enfin vidé, j’ai ressorti ma bite de sa bouche, je me suis essuyé sur ses joues, j’ai rangé ma bite, mi molle, dans mon Jean’s puis je lui ai fait signe d’aller s’enfermer dans une cabine. J’ai déverrouillé la porte, je me suis platement excusé auprès du mec qui s’agaçait en lui disant que j’avais machinalement tiré le verrou puis je suis parti rejoindre mes potes comme si de rien n’était. Quelques bonnes heures étaient passées, j’avais, à plusieurs reprises, aperçu Julien qui semblait bien s’amuser lui-aussi. Vers 2 heures du matin, le voilà qui arrive vers moi en me demandant si je pourrais le ramener, il avait l’air d’avoir pas mal bu et préférait laisser sa voiture dans la rue. Je n’allais pas le laisser prendre le volant dans cet état et, bizarrement, le voir aussi vulnérable m’excitait à nouveau. Nous convenons que, quand je serais prêt à partir, je lui ferais signe, il repart s’amuser de son côté. Un bon quart d’heure plus tard, on décroche enfin, comme c’est moi qui pilote, tout le monde monte dans ma voiture ainsi que Julien. Evidemment, et même s’il eût été plus logique de le déposer en premier, je me suis débrouillé pour le raccompagner en dernier. Arrivé chez lui, il se penche vers moi, on ...