Hétéro tenté... le goût du risque.
Datte: 06/11/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... se roule une pelle, il me met la main au paquet, il me dit qu’il a envie de moi et m’invite à monter pour baiser dans son lit. Ce lit où je l’ai maté en train de se faire dépuceler, ça m’émoustille évidemment mais, surtout, savoir que son père, mon boss, dort à quelques mètres, m’excite à mort ! On monte sans faire de bruit, dans l’escalier, je lui caresse le cul, il se retourne et m’embrasse avant de reprendre son ascension. Plus on approche de sa chambre, plus le risque d’être surpris augmente et plus j’ai envie de lui. Enfin, on arrive dans sa chambre, on s’embrasse et on se caresse tout en enlevant nos fringues qui volent partout dans la pièce puis on se jette sur le lit, enlacés à se caresser, s’embrasser et rouler l’un sur l’autre. Déjà mes mains saisissent et pétrissent ses fesses douces, fermes, rondes et si désirables. Lui me caresse le torse, me branle, me suce à nouveau puis remonte et m’embrasse sauvagement. Un puis deux doigts pénètrent son intimité, je le lime, je les fait tourner pour l’élargir et le faire mouiller. Parfois je les ressors et je les porte à sa bouche pour qu’il les suce et les enduise de salive et je repars en lui. Ça fait un bon moment qu’on s’amuse et qu’on s’excite avec nos préliminaires, il m’a bien sucé et mordillé les tétons, léché le ventre, embrassé les cuisses. Moi, je lui ai massé le dos, mordillé les oreilles, léché le dos en suivant la colonne vertébrale, j’ai embrassé et peloté ses fesses. Ma langue a titillé et lubrifié son ...
... trou déjà bien ouvert et mouillé. N’y tenant plus, Julien, d’une voix suave et pleine de désir me dit : « Vas-y Malik, mets-la moi, je te veux en moi, j’en peux plus ». Il était allongé sur le ventre, je suis doucement remonté en lui embrassant le dos. Il écartait ses fesses pour m’offrir son trou. Mon gland s’est posé dans sa raie, je l’ai guidé pour le placer à l’entrée et j’ai poussé sans m’arrêter pour m’enfoncer entièrement en lui, jusqu’aux couilles. Il avait enfoui sa tête dans l’oreiller qu’il mordait, je suis resté en lui sans bouger pour qu’il s’habitue. Il a relevé la tête et m’a dit : « Défonce-moi ! ». Je n’attendais que ça, je me suis défoulé sur et en lui par des grands coups de reins forts et puissants. Le lit craquait, bougeait, mes couilles claquaient sur ses fesses, ses cris étaient étouffés par l’oreiller, je tentais de maîtriser les miens pour ne pas réveiller ses parents qui dormaient au même étage. Il voulait être défoncé, je l’ai défoncé dans plusieurs positions ! Je l’ai pris en levrette, puis les jambes et le cul sur son lit, le buste pendant au sol. Il est venu s’empaler sur moi de face et de dos, tantôt c’est lui qui montait et descendait, tantôt, je lui donnais des coups de reins secs. Je l’ai baisé debout, lui dos au mur, les jambes enroulées autour de mes hanches et les bras autour de mon cou. Enfin, je l’ai couché sur le dos et je l’ai fini en légionnaire en l’embrassant à pleine bouche. J’ai joui en lui au moment où il crachait son jus sur nos ...