1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (33) : le candaulisme est aussi un jeu très dangereux pour un couple.


    Datte: 22/05/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... savait. J’ai commencé par lui caresser les seins. Comme moi, elle était très sensible. Ses pointes durcissaient, trahissant son excitation. Ma main se porta vers sa chatte d’où coulait le sperme abondant que Philippe y avait lâché, mélangé à la mouille de ma rivale. Je recueillais ce jus, et sans hésiter, portait mes doigts à ma bouche, pour les lécher, tout en la fixant du regard, pour bien lui faire comprendre mes intentions, que je la voulais et que j’allais la gouiner devant Philippe. Il était à moi et elle aussi serait à moi. Mes doigts s’enfonçaient dans sa chatte béante, je triturais son clitoris gonflé de désir. Elle gémissait, fermant les yeux, se laissant emporter. J’ai eu alors envie de prendre ses lèvres, de l’embrasser. Elle a commencé à répondre à mon fougueux baiser et sa main, à son tour, se posait sur ma chatte, me pénétrant aussi. Je pensais que j’avais gagné quand, soudain, Flavienne se mit à mordre sauvagement mes lèvres, à m’en faire saigner, et que ses doigts s’enfonçaient brutalement dans mon vagin, avec l’intention de me faire mal. Je poussais un hurlement de douleur et reculais, alors qu’elle se mit à me cracher au visage. • Salope, me dit-elle, tu es vraiment prête à tout ! Tu ne m’auras jamais, tu entends, qu’est-ce que tu t’imagines ? J’offrirai à Philippe le plaisir de me voir dans les bras d’une femme, mais ce ne sera jamais avec toi. Je la giflais et mes mains étaient autour de son cou. J’avais vraiment envie de serrer. Jusqu’à présent, ...
    ... Philippe avait laissé faire. Quelque part, il était fier que « ses » deux femmes se battent ainsi pour lui. Mais cette fois ça allait vraiment trop loin. Philippe me connaissait et Il intervint, réussissant avec difficulté à me faire lâcher prise. Il en profita d’ailleurs pour mettre ses mains sur ma poitrine, exprimant son désir, sans gêne vis-à-vis de Flavienne, qui reprenait son souffle : • Ca suffit Olga maintenant, tu es folle ou quoi ? • Laisse-moi, je veux tuer cette salope. Et surtout, je t’interdis de me toucher ! • Philippe, cette femme est complétement folle ! Je suis couverte de bleus et elle voulait me tuer. Nous devrions appeler la police. Elle devrait être enfermée ! Je vais déposer plainte. • Ca suffit toi aussi, tu l’as bien amochée également, regarde son visage ! En effet, vous alliez vous entretuer si je n’avais pas été là. • Oui je suis folle parce que tu m’as trahie, Philippe, tu m’as bafouée ! • N’inverse pas les rôles, Olga. C’est toi qui m’as fait comprendre que tu ne voulais plus de moi, que tu avais choisi Hassan. • Oui tu as raison, j’ai choisi Hassan. Vas t’en de cette maison, je ne veux plus te voir ici. • C’est bien ce que tu veux ? Les larmes me coulaient. • Oui, c’est ce que je veux, pars, mais pars tout de suite avec cette garce ! Je leur laissais à peine le temps de se rhabiller. Philippe et Flavienne obtempérèrent et s’en allèrent. Philippe hésitait encore, mais Flavienne s’imposa et lui prit la main pour le forcer à s’en aller. J’appelais ...