1. Jour d'audience au tribunal


    Datte: 22/05/2021, Catégories: fh, ff, inconnu, uniforme, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, initff, Lesbienne

    ... répondre. Mais vous en prenez la responsabilité. Car ce n’est guère réglementaire.— Oui, oui j’en prends la responsabilité. Karine est une brave fille et vous n’aurez aucun problème. Je sais que vous saurez assurer sa sécurité et la vôtre. Je n’ai pas de conseil à vous donner, vous avez suffisamment d’expérience pour gérer la situation. Et d’ajouter avec un ton des plus amicaux et avec une douceur que je ne lui connaissais pas encore : — C’est un grand service personnel que vous me rendez, je saurai m’en souvenir. Et elle raccrocha. Je restai un moment songeur, allongé dans mon lit. Mes pensées étaient touffues. Je revoyais la silhouette de cette Karine et essayais de l’imaginer dans une tenue de ville. Je revoyais ma chef dont les derniers mots et intonations me firent réfléchir au fait que je ne l’avais jamais vue qu’en uniforme et que nos échanges verbaux n’avaient été que professionnels et impersonnels. Mon esprit essayait de les imaginer côte à côte et en tenue féminine et même nues. Laquelle serait la mieux ? À cette pensée lubrique mon sexe me fit sentir sa présence. L’idée d’une partie à trois avec ces deux femmes m’effleura et me fit fantasmer. Ma chef est une grande femme, charpentée, à la poitrine lourde, au visage ovale que je n’ai jamais vu maquillé mais que je me mettais à imaginer avec un maquillage qui le mettrait en valeur. Je la rapprochais du corps mince et apparemment fragile de Karine et mon imagination les faisait se coller l’une à l’autre, se caresser ...
    ... timidement puis avec de plus en plus d’assurance à mesure que le plaisir se répandait en elles. Ma main caressait ma hampe maintenant tendue et sensible au rythme des coups de langue que les deux femmes se donnaient dans leurs chattes respectives allongées en 69 dans mon imagination, les yeux fermés et tournés vers ce spectacle virtuel. J’allais arriver au point de non retour quand à nouveau la sonnerie du téléphone m’éjecta de mon fantasme. — Paul, c’est encore moi, il faudrait que vous soyez là pour 9 heures. À tout à l’heure. Je n’ai pas eu le temps de répondre quoi que ce soit qu’elle avait raccroché. Mais il valait mieux pour elle car je l’aurais sans doute insultée pour m’avoir brusquement interrompu dans mon délire. Mais finalement de bonne humeur, je m’apaisai rapidement et passai dans la salle de bain. Avant de déjeuner je donnai un coup de fil à Chantal, ma petite amie du moment pour lui expliquer que je n’étais plus libre et m’en excuser. Je dus toutefois lui préciser que c’était pour raison de travail car je l’ai sentie inquiète. À 8 h 50 je me suis présenté au bureau de ma chef. Elle m’a regardé puis m’a dit : — Ça va, Paul ? Vous avez un air bizarre.— Non, non, tout va bien, rassurez-vous. Je ne pouvais tout de même pas lui dire que l’image de la scène que mon imagination lubrique m’avait procuré quelques heures auparavant venait de repasser devant mes yeux en la voyant lorsque j’ai pénétré dans son bureau. Une collègue amena Karine que je vis pour la première ...
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