Jour d'audience au tribunal
Datte: 22/05/2021,
Catégories:
fh,
ff,
inconnu,
uniforme,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
initff,
Lesbienne
... fois en tenue de ville. Un jean, un tee-shirt blanc et un blouson en faux cuir. Son visage était inexpressif. Son bonjour également. — Bonjour Karine, voilà Paul qui va vous conduire au tribunal à Montpellier. Nous n’avons pas de fourgon disponible ce matin aussi j’ai demandé à Paul qui était en repos de vous y amener avec sa moto. Le visage de Karine marqua un grand point d’exclamation — Je vous rassure tout de suite, Paul est un motard expérimenté, vous ne risquez rien. C’est un service qu’il a tenu à vous rendre, estimant qu’il ne fallait pas retarder votre procès dont il espère une bonne issue. Je n’en revenais pas de la façon dont ma chef avait présenté l’affaire, me donnant le beau rôle, celui du chevalier accourant pour sauver la princesse en danger. Le visage de Karine est passé de la plus grande stupeur à un regard de reconnaissance où un petit sourire fit son apparition — C’est sympa de votre part. Je vous en remercie dit-elle timidement. Un petit silence gêné s’en suivit qu’interrompit ma collègue par un – « bon, moi, je peux repartir ? » – assez brutal. Ma moto est puissante mais c’est une moto routière. Elle est relativement confortable mais le passager est assez relevé à l’arrière et pour son confort et la stabilité de l’engin, il est préférable que ce dernier se colle contre le conducteur et se stabilise bien en l’entourant de ses bras. Pour respecter un minimum de sécurité pénitentiaire, une fois juchés tous deux sur la machine et ses bras m’entourant, je ...
... passai les menottes aux poignets de ma passagère tout en m’excusant d’être obligé de le faire. — Votre casque est équipé d’un micro et haut-parleur, comme le mien, lui dis-je. S’il y a un problème vous pouvez me parler.— Ok, merci. Nous voilà partis pour Montpellier. Il est 9 h, l’audience est à 11 h, nous avons de la marge. Pas besoin de rouler très vite. Il fait beau, la température indiquée sur le cadran est déjà de 24°. Je sens le corps de ma passagère collé à mon dos et ses bras qui entourent mes hanches. Ses mains menottées sont à hauteur de ma ceinture, serrées l’une contre l’autre. Pour nous distraire un peu, j’ai allumé la radio et Radio Nostalgie nous diffuse des chansons françaises. Le trafic est normal pour la saison et je rêvasse aux prochaines vacances. Où et avec qui je pourrais bien les passer ? Nous venions de passer Narbonne quand je me rendis compte que ma passagère accompagnait le rythme des chansons avec ses doigts sur ma braguette. Mais sous ma braguette, il y avait ma queue qui commençait à apprécier ces tapotements. Réveillé de mes songes je me posai la question de l’innocence de cette gestuelle. Est-elle complètement prise dans sa musique et ne se rend-elle pas compte de l’endroit où tapent ses doigts ou en est-elle consciente et le fait-elle volontairement ? — Ça va Karine ? essayai-je de dire, histoire de provoquer une réaction de prise de conscience éventuelle.— Oui, oui, c’est agréable de rouler en moto. Et vous conduisez bien. Je n’ai pas du tout ...