1. Notre première "fantaisie"


    Datte: 23/05/2021, Catégories: fhh, hbi, couplus, inconnu, campagne, Masturbation intermast, Oral

    Une balade et une surprise de taille. Bonjour, je m’appelle Fred et ma femme Jakie. Nous sommes mariés depuis huit ans, j’ai 45 ans et elle 48. Nous sommes heureux, et depuis que les enfants sont autonomes, nous nous sommes retrouvés. Nous avons renoué avec les petites attentions, les soirées restau en amoureux, les câlins imprévus un peu partout dans la maison. Nous passons parfois des week-ends entiers sans mettre le nez dehors, à se câliner et faire l’amour comme deux jeunes mariés. Rien ne manque à notre bonheur, et je dois dire que sexuellement, je constate avec plaisir que nous avons tous les deux retrouvé une seconde jeunesse. Cette histoire, la première « fantaisie » qui soit arrivée sexuellement dans notre couple, s’est produite il y a huit mois. Nous étions partis en ballade dans les collines par une belle et chaude après-midi. Le but était un petit sommet qui dominait la vallée et d’où nous aurions une vue magnifique. Sans trop connaître l’itinéraire, nous avons garé la voiture, pris nos sacs et nous voilà partis. Le sentier était magnifique, tantôt il longeait les bois, s’élevant doucement vers les hauteurs, tantôt il serpentait le long des parcelles de vignes et sous le soleil d’août, les oliviers offraient une pause ensoleillée fort bien venue. Au détour d’un petit pré, un chemin plus grand et à quelques pas, une vielle bergerie en pierres. Elle était entourée d’un parc où étaient enfermée une dizaine de moutons, et juste devant, une caravane avec une tente ...
    ... attenante de laquelle sortit en jappant un petit chien de berger blanc et noir. Il était si mignon que ses aboiements n’effrayaient sans doute que les moutons. Alerté par le bruit, le berger, un jeune homme d’environ vingt-cinq ans, sortit la tête de la tente pour appeler « Fiz », son chien. Avec un large sourire nous indiquant qu’il ne fallait pas nous inquiéter pour son molosse, il nous salua. Le chemin passant juste devant la caravane, je lui demandai s’il était possible de continuer et toujours avec ce beau sourire, qui s’adressait, me semble-t-il, un peu plus à Jakie, il nous dit que oui et nous reprîmes notre chemin. — Il risque pas d’être dérangé. Par contre, s’il oublie le pain, c’est la galère ! Pour toute réponse, Jakie me fit juste remarquer qu’il était charmant. Malgré l’ombre des arbres, la pente constante nous faisait souffrir. Les pauses étaient de plus en plus fréquentes et il semblait que jamais nous n’atteindrions le sommet par ce chemin-là. Au bout d’une heure, je dis à Jakie : — Pause, ça sert à rien de s’entêter, on se repose et on fait demi-tour. A quelques pas de là, en surplomb du chemin, de grandes pierres plates nous tendaient les bras. Le sac par terre, le tee-shirt envolé, je m’allongeai comme un lézard, Jakie fit de même, mais garda son tee-shirt. Nous avons du sommeiller comme ça une bonne demi-heure et rouvrant les yeux, je vis Jakie assise qui contemplait le paysage. Doucement, je me mis à lui caresser le dos. Sa peau était chaude. Délicatement, je ...
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