Notre première "fantaisie"
Datte: 23/05/2021,
Catégories:
fhh,
hbi,
couplus,
inconnu,
campagne,
Masturbation
intermast,
Oral
... vers moi. — Et c’est pas pareil, même si c’est bon, ça reste un peu frustrant, vous êtes d’accord ? Sans réfléchir, inconsciemment, impatient d’entendre la suite, je fis oui d’un mouvement de tête. — Alors pour une fois que je rencontre des gens simples, sans chichis, avec qui on peut parler, j’aimerais une faveur. Si Jakie pouvait me faire une pipe avant qu’on se quitte pour toujours, je crois que je serais le plus heureux des hommes. Comme si j’avais reçu un électrochoc, ses mots m’avaient sonné. Crus et directs, sa logique était simple et ma foi, au lieu d’être choqué par ce manque de respect envers ma femme, j’étais troublé, figé. Jakie le regardait elle aussi, incrédule, mais visiblement troublée. Elle non plus ne semblait pas en colère. Elle se tourna vers moi. — Et toi tu dis rien ?— Ma chérie, je n’en sais rien, je devrais bien sûr être en colère, mais toi aussi, non. Je suis un peu surpris et au lieu de me choquer, je dois avouer que la situation me trouble étrangement. En fait je commençais à être excité par ce silence qui pesait sur nous. — Je crois que si je me fâche, j’aurais tort. Et si je dis rien, aussi ! C’est à toi que s’adressait la question, je te laisse répondre.— Mais qu’est ce que tu dirais, si… Là, vraiment, je commençais à bander sérieusement, je sentais que nous allions vivre quelque chose d’important, bon ou mauvais, il était trop tôt pour le dire. — Je te l’ai dit, je suis partagé et comme toujours dans ces cas là, je te laisse décider. Mais ...
... d’avance je suis d’accord avec toi, je sens qu’il faut que ce soit toi qui décides. Il nous regardait toujours avec le même sourire. Sentant que la balance penchait de son côté, il força un peu les choses. Il regarda Jakie dans les yeux. — Je serais pas fâché, si tu dis non. Il y avait dans ses yeux une telle candeur qu’elle ne réfléchit plus longtemps et ses paroles resteront gravées à jamais dans ma mémoire. — Je crois en fait…. que j’en ai très envie, entrons à l’intérieur. Elle le précéda et il entrèrent dans la caravane. Toujours figé, par la situation, par la réponse de Jakie et par l’incroyable excitation qu’elle générait, je restai immobile à l’extérieur, le sexe gonflé à exploser et l’esprit en fusion. Ma femme, Jakie, était entrée avec cet homme qui voulait qu’elle le suce et j’avais donné mon accord, je bandais comme un turc et je ne pouvais pas bouger. Des images folles et toutes plus excitantes les unes que les autres défilaient dans mon esprit. Je la voyais des scènes de films X et Jakie était à la place de l’héroïne, parfois au milieu d’une forêt de sexes tendus qu’elle satisfaisait tour à tour. J’étais comme en transe. Au bout de longues minutes, j’émergeai de mon « coma » et décidai d’entrer et de profiter moi aussi de la situation. La vision que j’eus faillit me faire jouir sur place. Jérémy, puisque c’était son prénom, me tournait le dos, le pantalon sur les chevilles et le caleçon tendu au milieu des cuisses. Je ne voyais pas Jakie, assise sur le lit devant lui, ...