1. Le fils du boulanger


    Datte: 25/05/2021, Catégories: fh, jeunes, fdomine, Oral pénétratio, init, inithf, occasion,

    ... ouiiiiiiiiiiiii, j’en veux ! Je me cambre, bloque sa queue au fond, défaille, j’ai chaud, retombe. C’est fort, quel orgasme. Cette fois il m’a fait jouir. Il ne bouge plus, est là, aplati sur moi, récupère. Sa queue est toujours à l’intérieur, je serre mon vagin pour bien la sentir, la garder en moi le plus longtemps possible. Je mets les bras sur son dos, je ne veux pas qu’il ressorte tout de suite… La queue, toujours enfoncée jusqu’aux couilles, diminue, je sens le gland qui recule dans ma gaine, je contracte mes muscles du vagin, comprime le gland, relâche, recommence, je veux qu’il reste en moi. Que se passe-t-il ? Je sens que le gland, augmente de volume. La tige gonfle et se raidit, s’allonge. Je la sens qui se redresse à l’intérieur de moi. Un soubresaut, le gland toujours en retrait, envoie une giclée au fond de ma gaine. Je n’en reviens pas, il en a encore ! Il sort de moi, donne un coup de rein, entre sauvagement, se rue au fond de moi, ressort, recommence, il s’acharne dans mon ventre. Voilà qu’il gicle de nouveau, ce n’est pas possible, c’est bon, c’est chaud. Chaque coup de piston me fait crier de plus en plus fort : — Ohhhhhh, Ahhhhhhhh, Ouiiiiiiiiiiii, défonce-moi ! Je perds la tête, j’ai l’impression que mon cœur s’arrête, je respire difficilement, décolle, plane. Encore un orgasme, plus fort que celui de tout à l’heure Il m’a encore bien servie, je le repousse, sa bite quitte mon antre, le sperme coule dans ma fente, dans la raie des fesses, sur mes cuisses, ...
    ... sur la serviette tellement il y en a. Je me lève, sors de la chambre, vais dans la salle d’eau, il me suit. Je m’installe sur les toilettes, ouvre largement les cuisses, écarte les bords de mon trou, vide mon vagin, en profite pour me soulager la vessie, m’essuie. Il me regarde, intéressé. — C’est la première fois que tu vois une femme pisser.— Oui, moi aussi j’ai envie que tu me regardes. Je me lève, lui laisse la place, le regarde viser la cuvette, le jet est un peu dispersé, il arrose un peu les bords. Puis il vient vers moi, me dit : — Laisse-moi te laver !— Si ça te fait plaisir ! Je lui donne un gant de toilette, il le mouille, l’enduit de savon, le passe entre mes cuisses, dans ma moule, le rince, recommence. J’ai besoin de plusieurs passages tellement mon sexe est enduit de sperme, il en coule encore. Il m’essuie, s’accroupit devant moi, m’écarte bien les jambes, dégage mon clito, y passe sa langue, le suce, l’aspire, il bande. Ses lèvres tirent sur mes nymphes, sa langue va jusque dans mon trou. Je mouille, c’est bon. Mais on a plus le temps, je le repousse : — À moi maintenant, passe-moi ta queue, je vais la laver ! Il se met devant moi, je la prends en main, l’enduis de savon, fais coulisser ma main sur sa queue, la lave soigneusement, la rince, l’essuie. Voilà qu’il rebande, ce n’est pas vrai. Je donne une tape dessus. Il me retourne brutalement, me plaque le buste sur le lavabo, passe ses jambes entre les miennes, les force à s’écarter. — Qu’est-ce qui t’prend ? ...
«12...4567»