En attendant l'hiver
Datte: 26/05/2021,
Catégories:
h,
fh,
jeunes,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
fantastiqu,
... beaucoup de mal à fixer ses pensées sur autre chose. L’enfermement attisait les ardeurs, mais pour l’instant, Sandra ne semblait vouloir céder ni à l’un ni à l’autre, se contentant de quelques provocations. Comme ce matin où elle était descendue à l’aube simplement vêtue d’une petite culotte et d’un tee-shirt laissant apparaître l’absence de soutien-gorge. La lumière dans la cuisine mettait en valeur ses courbes généreuses, et les deux garçons ne pensaient qu’à ces formes, lorsqu’ils virent la lumière clignoter pour finalement s’éteindre, les laissant dans la pénombre du matin glacé. « Qu’est-ce qui se passe ? interrogea Dominique. Je croyais t’avoir dit de changer l’ampoule hier ! » dit-il en s’adressant à Sandra. Mais après avoir tenté de remplacer à nouveau l’ampoule, puis avoir tenté l’expérience dans les autres pièces, ils se rendirent à l’évidence : le courant avait été coupé. « On est dans la mouise totale… » Dehors, dans le froid, le paysage alentour était blanc, d’un blanc éclatant. La neige ne tombait pas encore, mais le vent soufflait, glaçant les corps des trois exilés, pourtant chaudement couverts pour cette escapade. — T’es sûr que ça vient du disjoncteur ? cria Daniel à l’intention de Dominique.— Oui, ça peut venir que de là, y a encore du courant dans tout le pays d’après la radio ! Pas de raison qu’ils l’aient coupé que chez nous !— Pourquoi ce foutu disjoncteur est pas dans la maison ?— Parce qu’on l’a rajouté après, et la maison n’est pas vraiment aux ...
... normes ! C’est une vieille baraque branlante, tu sais ! Ils arrivèrent dans la petite cabane où était le disjoncteur. Dominique y entra pendant que Sandra et Daniel faisaient le guet. Il remit les fusibles en place, allait en sortir quand il entendit un hurlement tout proche qui lui glaça le sang. Un hurlement suivi de l’irruption en trombe de Daniel et Sandra dans la cabane exiguë. — Les loups ! Trop proches, on n’aura jamais le temps de rejoindre la maison !— Barricade la porte ! La cabane est solide, elle devrait supporter leurs assauts ! Ils étaient blottis les uns contre les autres au milieu de la fragile bâtisse. Ils dormaient depuis quelques heures à peine, le froid commençait sérieusement à se faire sentir. Dix heures bientôt qu’ils étaient prisonniers. Pendant ces dix heures, les hurlements, dehors, s’étaient rapprochés, les murs avaient bougé, ils étaient terrifiés. Mais ça avait tenu bon. Et ils s’étaient accoutumés aux bruits, et avaient fini par s’endormir. Sarah fut la première réveillée. « Il fait si froid… » Ses membres en étaient tout engourdis. Engoncée dans ses vêtements, elle se dit que si cela ne suffisait pas, il restait la chaleur humaine. Pour réchauffer ses mains glacées, elle ouvrit le manteau de Dominique et les glissa sous son pull, sur sa chair chaude, sur sa peau un peu rugueuse, mais qui lui semblait si douce. Le contact du froid sur sa peau réveilla Dominique. — Qu’est-ce que tu fais ?— Ben j’essaie de me réchauffer. Dominique lui sourit et vit là ...