En attendant l'hiver
Datte: 26/05/2021,
Catégories:
h,
fh,
jeunes,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
fantastiqu,
... la cabane, la température commençait à devenir insupportable dans la maison. Ils dormaient nus et presque sans couvertures, et se baladaient en petite tenue durant la journée. Des journées de plus en plus déprimantes. Ils essayaient de lire, d’écouter la radio, mais le problème du sexe revenait toujours. Qu’il en plaisante, comme ce matin où il était arrivé le sexe à la main en lui disant : « Un croissant pour la miss ? » ou qu’il en vienne presque à tenter de la violer, elle sentait bien que la situation deviendrait bientôt ingérable, pour lui comme pour elle. Un soir, elle sentit un poids sur son dos, quelque chose de dur dans la raie de ses fesses. Daniel allait et venait sur elle, se masturbant entre ses globes si attirants. Il lui éjacula sur le bas du dos et repartit sans rien dire. Elle soupira. Elle savait bien qu’il ne la violerait pas, qu’il faisait tout ce qu’il pouvait pour réfréner ses pulsions. Elle-même n’arrivait pas à lui en vouloir vraiment. S’il n’y avait pas eu Dominique, elle aurait d’ailleurs sans doute craqué depuis longtemps. Mais le souvenir de cet homme lui trottait dans la tête. Sans doute parce qu’il avait été le premier à venir en elle. Elle espérait secrètement être enceinte, et elle voulait être sûre qu’il soit de Dominique. Elle ne saurait dire pourquoi. Mais dans ce monde qui s’écroulait autour d’elle, peu importaient les certitudes, l’important était d’en avoir. Aussi se raccrochait-elle à cette idée, même si cela impliquait pour elle et ...
... Daniel une chasteté difficile à respecter. Sans doute avait-elle moins de besoins sexuels que le garçon insatiable, mais il arrivait de plus en plus souvent la nuit que ses doigts s’égarent entre ses cuisses en imaginant que c’était Dominique, parfois même Daniel ou les deux ensemble, qui s’y donnait du plaisir. Les gémissements que Daniel croyait entendre la nuit en provenance de la chambre de Sandra lui étaient insupportables. Il en était à se masturber plus de cinq fois par jour. La chaleur du dedans devenait aussi insupportable que le froid du dehors l’avait été. Ils seraient bien sortis d’ailleurs, s’il n’y avait eu les loups. La neige était toujours là, les bêtes aussi, elles étaient de plus en plus nombreuses, massées devant la maison, comme des chiens qui attendent devant leur gamelle la pâtée du matin. Trois semaines après la mort de Dominique, alors qu’ils en étaient réduits à se balader en sous-vêtements et à éviter au maximum de se croiser pour éviter des dérapages, le soleil se leva sur un spectacle étonnant. Sandra n’avait pas dormi de la nuit, torturée par un fantôme qui ne quittait son esprit. Elle était restée prostrée sur une chaise de la cuisine, fixant les aiguilles de l’horloge, comme si leur fuite pouvait changer quelque chose à la situation. Le temps s’arrêta alors. Les aiguilles indiquaient 9 heures, mais ne tournaient plus. Sandra mit un moment à s’en rendre compte. Elle tourna alors lentement la tête vers la fenêtre. La neige et les loups avaient ...