1. Vous avez un message


    Datte: 27/05/2021, Catégories: fh, ff, frousses, inconnu, Collègues / Travail cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme fgode, pénétratio, double, fdanus, jeu, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, fouetfesse, initiatiq,

    ... je connais la réponse. Mais, l’idée qu’un homme que je ne connais même pas m’épie, avec ma permission en plus, ce n’est quand même pas très normal non ?— C’est toi qui n’es pas normale, ma vieille ! Un type arrive à te tremper la culotte sans même te toucher et tu voudrais te priver d’un tel plaisir ! Si tu veux, tu peux lui passer mon adresse mail. Moi, en tout cas, je suis prête à me faire « découvrir davantage ! » Durant tout l’après-midi, Julie avait dû lutter pour se concentrer sur son travail tant son esprit repartait inexorablement vers les messages de son mystérieux correspondant et sur les étonnantes sensations qu’elle ressentait en y pensant. Coïncidence ou jeu de l’esprit, toujours est-il que ses collants lui étaient devenus de plus en plus insupportables. Ils enserraient désagréablement ses cuisses et ses fesses, enfermaient sa petite chatte frémissante dans une inconfortable prison de nylon. — Ça va, Julie ? Tournée dos à la porte, occupée à rajuster nerveusement ses collants, pestant à haute voix contre cette chaleur rayonnante qui lui enflammait le corps, elle n’avait pas entendu Pierre, son chef de département, arriver dans son bureau. — Euh… Oui, oui, ça va.— On va aller boire un verre avec les autres. Vous voulez vous joindre à nous ?— Euh… Oui, OK. Je règle deux ou trois trucs et je vous rejoins dans cinq minutes. OK ?— À tout de suite alors. Son boss ne l’avait plus invitée à prendre un verre depuis trois ans et voilà que justement aujourd’hui… Elle n’a ...
    ... pu s’empêcher de penser que peut-être… Mais non, ce n’était pas possible. Pierre Mercier était marié et fier de son épouse autant que de leurs trois enfants. Et même si plusieurs collègues féminines avaient tenté leur chance, il était d’une fidélité monastique. Elle en était encore à se poser des questions, lorsqu’ils avaient donné le signal du départ. Sans réfléchir davantage, elle avait quitté ses escarpins, glissé ses mains sous sa courte jupe plissée et descendu ses collants, jusqu’à ce qu’ils ne forment plus qu’une petite boule de nylon qu’elle avait fini par jeter dans son sac. Voilà ! « Alea jacta est » avait-elle pensé presque soulagée en éteignant la lumière de son bureau pour rejoindre ses collègues sur le palier. Elle avait passé la soirée à tester chacun des gars du groupe, essayant de deviner si son mystérieux correspondant ne se trouvait pas parmi eux, se laissant aller à flirter innocemment avec les plus hardis pour essayer de percer leur secret. Mais cela n’avait mené à rien, si ce n’est à l’un ou l’autre baiser volé, quelques mains baladeuses et, à l’heure du réveil, une sérieuse gueule de bois et la désagréable sensation d’avoir envoyé de bien étranges signaux à ces collègues masculins. Malgré cela, c’était surtout une sensation de plénitude qu’elle ressentait ce matin-là, provoquée par les images évanescentes de ses étreintes avec le mystérieux « YNot » et la chaleur moite entre ses cuisses qui témoignait des jouissances oniriques qui avaient mouillé ses ...
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