L'étalon aiguille (Tome 2) (9)
Datte: 27/05/2021,
Catégories:
Transexuels
... mettre là? Comme ça… Il vint vers moi et me fit poser les mains sur le rebord du petit bureau qui meublait la pièce. Puis il alla chercher la robe de cuir et me la tendit. — Et ça, tu veux bien aussi? — Si tu veux. J’aime te voir excité comme ça ! C’est assez flatteur pour moi. Je m’efforçais de rendre cet habillage le plus érotique possible et me caressai la poitrine et le ventre en l’enfilant. Puis je pris en main les deux fines lanières de cuir destinées à accrocher la robe à mon cou et me tournai vers lui. — Tu veux bien m’aider? — Avec grand plaisir… Il se mit dans mon dos et colla sa verge droite comme un "I" contre mon bassin pour clipser l’attache. Puis ses mains descendirent sur mes seins qu’il caressa à travers la peausserie. J’avais, là encore, tellement fantasmé sur le fait de vivre une telle caresse que je ne tardai pas geindre de plaisir. Satisfait de l’effet produit, il fit glisser de haut en bas son phallus contre le cuir le long de ma raie fessière. Sa main gauche délaissa mon sein et vint se poser sur mon pubis. Il me prodiguait des caresses tellement amples et appuyées que cela retroussait par instant ma robe jusqu’à mon nombril. Il ralentit progressivement les mouvements de son bassin et ceux de sa main gauche, avant de rester un instant complètement immobile collé dans mon dos en m’embrassant dans le cou. Puis il se remit à bouger, mais latéralement cette fois, comme pour danser sur une musique inaudible. — Tu sais quoi, Sam? Et bien, je vais te dire, je ...
... ne regrette pas, mais alors pas du tout, que tu m’aies un peu forcé la main pour atterrir ici… — Moi non plus ! Je suis bien, tu sais… — Tant mieux. Pourvu que ça dure… — Qu’est-ce que tu veux dire? — Rien… Juste que je souhaite que ça te plaise encore longtemps. Sur cette phrase un peu énigmatique, il s’accroupit dans mon dos. Il embrassa mes bottes en même temps qu’il les caressait, faisant glisser sa bouche sur toute la hauteur de la tige. Il remonta ainsi petit à petit, s’attarda un instant sur la peau de mes cuisses comprise entre le haut de la genouillère et le bas de ma robe, puis il retroussa celle-ci avec son front et l’arête de son nez pour continuer à rapprocher sa bouche du but qu’il s’était fixé. Il écarta les lobes de mes fesses et massa d’abord mon anus avec son majeur, puis avec sa langue. Son doigt remplaça à nouveau sa bouche, mais cette fois-ci, il ne tarda pas à me pénétrer. C’est ainsi qu’il me fit jouir une nouvelle fois. Satisfait de lui, il se redressa et écarta dans un premier temps mes cuisses, puis à nouveau mes fesses avant de poser ses mains sur mes hanches. Je sentis son gland à l’orée de mon anus. J’étais partagée entre l’envie de le sentir s’enfoncer en moi et la crainte "que ça ne rentre pas". Instinctivement, je me penchai un peu plus en avant pour dilater mes sphincters. Mais quand il commença à me sodomiser, la peur l’emporta ! — Eddy… Non, c’est pas possible, ça ne rentre pas ! — Relax, Sam ! Ça va rentrer… Sans se soucier de mes plaintes ...