Une jolie servante harcelée par le fils de
Datte: 07/11/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
RésuméS’étant provisoirement résignée à travailler comme femme de chambre au service d'un Monsieur âgé et de son rejeton, Francesca raconte les soucis de son quotidien à Ann, une amie intime un peu perdue de vue.D’abord très choquée, cette dernière finit par se montrer plus compréhensive.L’histoire se passe à Paris, dans le quartier des affaires.L'héroïne ouvre la porte à son amie en disant : « Entre vite ma chérie, nous sommes seules.— Wouah, Francesca ! T’es vachement sexy dans cet uniforme !— Pour vous servir, Madame.— Putain, si j’étais un mec, comment je te sauterais dessus.— Hou là, tout de suite les grands mots !— Est-ce que tu connais un mâle qui resterait indifférent devant une aussi jolie soubrette que toi ?— J’en sais rien, mais entre nous, on pourrait rêver à des métiers plus épanouissants.— C’est vraiment ton job en ce moment ?— Bah oui.— Attends, je crois avoir deviné… Il y aurait pas un plan cul, là-dessous ?— Quel genre ?— Histoire d’amour avec un bel employeur.— Oh non, au contraire ! Qu’est-ce qui te fait penser que j’aurais pu manigancer un truc aussi curieux ?— En te regardant, on comprend tout de suite pourquoi le fantasme de la petite bonne est si répandu.— Tu es gentille.— Non, sincère.— Le revers de la médaille, c’est que ça me donne l’impression d’être le cliché de service.— Un grand pouvoir de séduction est en général considéré comme un atout, Francesca.— Ça dépend de qui on séduit, Ann.— Mademoiselle préfèrerait être un thon ?— Pas vraiment. Mais ...
... ça n’empêche que je me passerais volontiers de certains soupirants.— C’est clair que l’idéal serait de pouvoir choisir, mais tu sais ce qu’on dit à propos de la lune.— Je rêve quand même aussi d’un truc qui me permettrait de me débarrasser des plus lourds. Surtout que ce ne sont jamais les mieux. Voilà pourquoi je n’aime pas trop être le cliché de service.— Francesca, tes milliers de consœurs ne sont pas que des lieux communs, elles existent.— T’es certaine ?— Enfin bon, le principal, c’est que ce soit bien payé.— Ah ça, je ne peux vraiment pas me plaindre.— Pourquoi tu ne m’as rien dit au téléphone ?— J’avais trop envie de voir ta réaction.— Il n’y a aucune de raison de le cacher, c’est presque comme femme au foyer.— T’inquiète pas, tout va bien.— En plus, ton look est super classe. Aucun rapport avec la sempiternelle french maid des films à deux balles.— Alors là, j’aurais jamais accepté de porter ce genre de fringues.— Regardez-moi ça, quelle élégance… Cette petite robe noire te va à merveille.— Elle est faite à mes mesures, ma chère. Par un couturier du VIIIe.— La classe !— Hé oui, ceci me console un peu de mon humble condition de servante.— Ne dis pas ça.— Ben quoi ?— Pour moi, c’est en grande partie ce côté très réservé qui te rend si attirante.— Je préfèrerais quand même me passer de ce tablier et de cette coiffe.— Dans ce cas, ce ne serait plus un uniforme.— Justement.— T’en fais pas, la qualité des tissus et de cette dentelle saute aux yeux. Et pareil pour la coupe.— ...