Une jolie servante harcelée par le fils de
Datte: 07/11/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Mon patron exige ce qui se fait de mieux.— Alors il doit avoir pas mal d’argent.— Pété de thunes, à mon avis. Mais ne t’emballe pas, Monsieur est trop vieux pour nous.— Et marié, je suppose.— Divorcé avec un fils.— De quel âge ?— Seize ans, d’après le gamin. Mais je suis persuadée que c’est moins.— Tu as demandé au père ?— Oui, il m’a répondu : « Est-ce que mon fils est un menteur ? ». Donc je n’ai pas insisté.— Son héritier va encore au lycée ?— Il y est pour l’instant. En principe.— Dans quelle classe ?— Troisième.— C’est vrai qu’à moins d’avoir doublé et redoublé…— En effet, seize ans, ça m’étonnerait beaucoup.— Il est grand comment ?— Laisse-moi réfléchir. Disons… trois pommes.— Tu rigoles ?— Oui Ann, personne n’est aussi minuscule.— Mais il est quand même très petit.— Difficile de se baser là-dessus, puisque son père n’est pas beaucoup plus grand.— Je peux te poser une question indiscrète ?— Vas-y.— Pourquoi tu as accepté ce boulot ?— Il n’y a pas de sot métier, t’aurait rétorqué Antoine Le Roux de Lincy.— C’est qui ?— Un historien du 19e siècle.— Comment tu sais ça, toi ?— Internet a réponse à tout, il suffit de demander.— Non mais sérieusement Francesca.— Avec la crise, impossible de trouver un emploi qui correspond à mes diplômes. Ou alors, soit le patron, soit le DRH me fait assez vite comprendre qu’il suffirait que je m’allonge sur le canapé pour avoir plus de chances d’être prise.— Même pas la certitude ?— Ça dépend dans quel sens tu l’entends.— Ah oui, ...
... évidemment.— En plus, ici, je ne travaille qu’un jour sur deux.— Avec un très bon salaire, malgré ça ?— Non seulement c’est bien payé, mais je peux aussi disposer d’une grande maison dans le XVe, avec un jardin, un garage et une petite bagnole pour faire les courses.— C’est vrai que là, il n’y avait pas à hésiter. Si je comprends bien, tu es en même temps la gardienne de cette bicoque.— En effet.— Elle sert à quoi à ton boss ?— Il y reçoit du beau monde quelques fois par an. Mais dans ce cas, ce sont des professionnels qui s’occupent de l’intendance. Moi, je joue à la maîtresse de maison traitée avec tous les égards qui lui sont dus. Hé oui !— Donc, ce jour-là, tu as le droit de t’habiller en civil, si j’ose dire.— Monsieur m’offre chaque fois une nouvelle robe, ma chère.— Et le reste du temps, qu’est-ce que tu fais là ?— Ce que je veux, du moment que l’entretien est assuré. D’ailleurs, si tu ne repartais pas ce soir, je t’aurais reçue chez moi.— Carrément le job en or.— Hé oui. Par beaucoup de côtés.— Pas tous ?— Malheureusement…— Qu’est-ce qui cloche ? Le vieux te serre de trop près, malgré son âge ?— Pas lui, son fils.— Aïe !— Comme tu dis.— Quel est le prénom de ce garçon ?— Badji.— C’est à cause de lui que plaire te dérange parfois si fort ?— En effet.— Il a l’air de quoi, niveau physique ?— Entre nous, assez moche.— Pas de chance… Et question personnalité ?— Le parfait enfant gâté.— C’est-à-dire ?— Paresseux, menteur, désinvolte, provocateur...— Rien que ça ?— Non, il est ...