1. Qui suis-je vraiment? 05


    Datte: 28/05/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... fait la confusion de mes sentiments, entre sensation d'avilissement et délectation sexuelle, étaient de plus en plus fortes. - Serveur : Ce serait avec joie. - Nietzsche : Y aurait-il un habitué de votre restaurant, si possible pas attirant physiquement et un peu pervers, présent ce soir? - Laissez-moi regarder...... oui je crois que j'ai cela en stock. Les serveuses s'en plaignent car il laisse souvent traîner ses mains et on ne peut pas dire que ce soit George Clooney. - Bien, une fois que vous nous aurez apporté votre entrée du jour servie d'un petit Côtes du Rhône, vous nous le montrerez. - Bien Monsieur. Je redoutais ce qu'on allait m'obliger à faire. L'entrée fût servie rapidement, et alors que je commençais à avaler le premier morceau, Nietzsche poursuivît sa discussion avec le garçon. - Nietzsche : Montrez-moi alors cette personne. - Serveur : Vous voyez l'homme un peu gros trois tables sur votre droite. C'est lui. - Nietzsche : Bien, à première vue il me paraît être exactement ce que je recherche. Laurence, tu vas laisser ta place au serveur et tu vas aller t'enquérir auprès du client là-bas de savoir si tout va bien et s'il veut le dessert du jour. En même temps que tu diras cela je veux que tu te penches pour lui exposer tes nichons et que tu écartes les jambes afin de lui faire apprécier tes goûts en termes de dessous. Tu as compris? - Moi : Oui j'ai compris. - Nietzsche : J'allais oublier, tu lui indiqueras que le cadeau est offert par moi et tu lui indiqueras ...
    ... ma présence. S'il venait à te caresser voire plus, je t'interdis de bouger jusqu'à ce que je te fasse un signe te demandant de revenir à cette table. Est-ce clair? - Moi : Oui c'est très clair. - Nietzsche : Qu'en pensez-vous Monsieur. On peut dire que ma femme est vraiment une belle cochonne! - Serveur : A priori on ne peut pas dire autre chose. Quelle chance vous avez? - Nietzsche : Trèves de bavardage, asseyez-vous à sa place car Laurence a du pain sur la planche. Je me levais donc et me dirigeais vers l'homme. Il n'était pas beau effectivement et son visage laissait transparaître un caractère vicieux. Surpris de prime abord par ma présence, il se pencha en arrière sur ça chaise afin de me contempler. Comme demandé, je me renseignai sur la satisfaction du client vis-à-vis des plats servis. J'en profitais pour me pencher selon le scénario prévu, la réaction fût prévisible puisque cette personne bien en chaire fixa mes nichons avec avidité puis remonta son regard sur mon visage. J'étais vraiment mal à l'aise et pour éviter sa condamnation sans appel de son attitude, je détournais ma vue de ses yeux noirs. Bafouillant, je lui proposais de prendre un dessert. Sans attendre que je procède à la deuxième étape en ouvrant clairement mes jambes, sa main se colla à mon genou puis remonta prestement le long de ma cuisse. Sans aucune hésitation, il repoussa les pans de ma robe pour dévoiler mon entrejambe, sans se soucier de l'entourage ou du « quand dira-t-on ». Docile à souhait je ...
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