Qui suis-je vraiment? 05
Datte: 28/05/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... récitais alors les paroles de mon maître indiquant que le dessert du jour était offert par lui. Ces propos interrompirent quelques secondes ce gros vicieux pour dévisager Nietzsche, mais il reprit sa fouille en forçant mon vagin d'un puis trois doigts sans aucun ménagement. S'en suivit une masturbation vigoureuse, produisant des « flocs » suggestifs de ma dépravation sexuelle. Je fermais les yeux pour ne me concentrer et ne pas exploser en public. Mais heureusement la masturbation cessa, c'est alors que je rouvris les yeux pour voir mon tortionnaire sourire largement. Ce que je compris que quelques secondes plus tard c'est qu'il souriait non pas pour ce qu'il venait de faire mais pour ce qu'il avait l'intention d'accomplir. En effet, il prît sa serviette l'enroula pour en faire un bâton et la remonta le long de mes cuisses dévêtues. Toujours immobile, il m'écarta les lèvres de mon sexe et enfila le tissu. La pénétration, de par mon état d'excitation, fût plutôt aisée malgré le pouvoir absorbant du textile, il ne pût toutefois enfoncer la totalité de l'objet. Aussi se mît-il à boucher les derniers espaces de mon vagin en jouant avec son majeur puis son index afin que le torchon épouse parfaitement la cavité de mon sexe. Avec ce traitement je laissai échapper un petit gémissement. C'est alors que Nietzsche, me fît le signe de revenir. Soulagée et délivrée, le pervers m'empêcha de partir en m'agrippant le haut de la robe, et me força à me pencher. Mon visage à quelques ...
... centimètres de ses lèvres, il invectiva que je n'étais qu'une grosse cochonne. Immédiatement, il sortit ses doigts visqueux de mon vagin, pour venir caresser mon visage, me susurrant à l'oreille de ne pas effacer ces preuves de mon excitation pour aller rejoindre ma place. La chatte encombrée par la serviette, le visage barbouillé de ma mouille, je revenais vaincue à ma place. Mes deux admirateurs étaient ravis et me regardèrent avec une certaine condescendance. Alors que j'allais m'asseoir, le serveur se leva pour poursuivre son travail. Le repas se poursuivît plus calmement et je pus manger mon plat ainsi que mon dessert, tout en répondant aux questions très indiscrètes de Nietzsche sur mon enfance. Les cafés et l'addition commandés, il disparût aux toilettes. Je m'aperçus à ce moment qu'il était tard et le restaurant était dorénavant vide. Je tournais par conséquent le regard du côté de la table du pervers mais il n'était plus là, ce qui me soulagea fortement. Je fis un demi-tour avec ma tête pour voir arriver mon homme. Il m'ordonna d'aller me nettoyer le visage et de faire mes besoins car nous devions sortir. Il rajouta que je devais agrémenter mes seins de deux pincettes. Je me pressai donc pour faire le nécessaire. La pression des pincettes sur mes tétons procura une vive douleur mais elle s'estompa rapidement. Apprêtée mais toujours avec la serviette dans le vagin, je revins à la table. Et là j'eus un choc. J'avais droit à trois hommes enjoués, assis me dévisageant. Sur le ...