1. Mise à l'eau


    Datte: 29/05/2021, Catégories: ffh, jeunes, frousses, copains, vacances, dispute, photofilm, Oral pénétratio, prememois, hff,

    ... rythme se fit beaucoup plus lent, elle venait de jouir. Elle se retira. J’en profitai pour prendre les choses en main. J’attrapai Carole, me retournai et la mis sur le dos. N’ayant pas joui, mon sexe était encore tout dur et brûlant. Je pénétrai sans peine le vagin de Carole qui avait grand ouvert ses cuisses pour m’accueillir. Je me mis à prendre mon désir en main. Je me mis à pomper Carole comme un dératé. Visiblement elle prenait du plaisir, car sa respiration se faisait de plus en plus forte et ponctuait chaque aller-retour par des cris marqués. Pendant ce temps, sur le côté du lit, Céline reprenait son souffle en nous caressant et en nous embrassant sur tout le corps. Elle nous regardait faire avec un grand sourire aux lèvres. Satisfaite. Quant à moi, j’étais absorbé par le visage de Carole qui prenait du plaisir sous moi. Le mien montait de plus en plus aussi. Je n’allais plus pouvoir me retenir. Flash ! Flash ! Céline avait pris l’appareil photo et mitraillait. Je n’en pouvais plus et je me mis à gémir. Tout de suite accompagné par Carole, ce qui me rassura. Nous gémissions en cœur. Et, enfin je jouis intensément. J’éjaculai au plus profond du sexe de Carole. Repu, je restai un peu immobile tout contre elle. Pendant quelques secondes, nous sommes restés là tous les trois, enlacés. Puis je me retirai de Carole, mon pénis pantelant, laissant une filet de sperme ...
    ... s’étirant entre nos deux sexes. — Eh bien si j’avais su ça plus tôt, nous dit Céline, je t’aurais sauté dessus tout de suite.— Tu n’es pas un mauvais amant, confirma Carole. J’étais aux anges. Je planais littéralement. Je n’arrivais pas à me rendre compte de ce qui venait de m’arriver. Je pus tout de même dire quelques mots : — J’espère qu’on ne s’arrêtera pas à ça.— Il manquerait plus que ça, me dit amusée Carole. Il nous reste environ cinq jours de vacances avant que les autres arrivent, je te rappelle. Et je compte bien en profiter.— Comme quoi, ajouta Céline en désignant l’appareil photo, il suffit d’un rien pour débloquer nos inhibitions. Il se faisait tard, nous avions faim. Nous décidâmes de préparer le déjeuner. Débloqués, comme l’avait dit si bien Céline, le déjeuner se prolongea par d’autres jeux de séduction, par des caresses et nous reprîmes nos ébats durant presque tout le reste de la journée. Nous ne sommes sortis de l’appartement que tard dans l’après-midi pour faire un tour sur la plage et prendre un bain de mer. Il me semblait que le visage de mes vacances avait radicalement changé. Ça se voyait aussi dans l’attitude des deux filles. Elles étaient de nouveau de bonne humeur, elle ne se boudaient plus. Elles rayonnaient même. Nos ébats ne cessèrent pas dès ce jour. Et, je me sentis comme un roi durant le reste du temps que nous passâmes au bord de la mer. 
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