Mise à l'eau
Datte: 29/05/2021,
Catégories:
ffh,
jeunes,
frousses,
copains,
vacances,
dispute,
photofilm,
Oral
pénétratio,
prememois,
hff,
J’étais un petit peu novice en la matière. Et je ne savais que peu de choses sur ce que les femmes avaient derrière la tête. Non pas que je n’avais jamais fait l’amour à une femme. Ça m’était déjà arrivé quelques trop rares fois, mais j’étais juste moins mature. Jamais je n’aurais pensé que l’histoire que je vais vous raconter pouvait m’arriver. C’était au mois d’août, dans une station balnéaire très connue de la côte atlantique. Il faisait très chaud cet été-là. Deux amies que je connaissais depuis le lycée attendaient mon arrivée. En effet, elles louaient un studio durant le mois d’août et on se relayait pour occuper le logement entre copains en fonction de nos calendriers respectifs. Une semaine pour certains, un week-end pour d’autres, etc. En ce qui me concerne j’arrivais de quelques jours chez mes grands-parents, plein de dynamisme. J’étais prêt à tout pour passer de vraies vacances de d’jeunz. Chose qui m’avait été difficile chez mes grands-parents où les vacances étaient, disons, plutôt « diplomatiques ». Enfin j’arrivai et je fus accueilli à bras ouverts par mes deux amies Céline et Carole qui étaient là depuis plus d’une semaine déjà. Elles venaient de passer la semaine avec la sœur de l’une des deux et son petit ami. La sœur et son compagnon étaient déjà rentrés depuis trois jours sur Paris quand j’arrivai. Entre mes deux hôtesses et moi, jusqu’à présent, il n’y avait que des rapports strictement amicaux. Jamais il n’y avait eu jusqu’alors de quelconques avances ...
... faites ni de ma part, ni de la leur. C’était une vraie franche et pure amitié. À mon arrivée, une mauvaise surprise m’attendait. L’ambiance était quelque peu morose. Les vacances tournaient mal, car elles s’étaient disputées et se tiraient la tronche. En bref, j’avais l’impression d’arriver comme un cheveu sur la soupe. Entre elles, il y avait une sorte de rivalité. Une histoire de jalousie au sujet d’un garçon, un play-boy des plages qui avait semé la zizanie dans leur duo la semaine d’avant. L’ambiance étaient orageuse et si nous n’avions pas attendu d’autres amis durant les jours à venir, elles auraient déjà fait leurs bagages. Voyant en ma présence et en mon arrivée un espoir de vent frais dans l’appart’, aucune des deux ne se décida à partir, ne voulant pas me laisser seul et gâcher mes vacances. J’imagine aussi qu’elles pensaient que je leur apporterais peut-être une bouffée de bonne humeur, leur permettant d’éviter de trop se côtoyer l’une l’autre. Autant dire que la pression était sur mes épaules et je m’efforçai durant le début de mon séjour de maintenir une meilleure humeur que celle qui planait à mon arrivée. Ne voulant pas accentuer cette mauvaise ambiance, j’ai fait de mon mieux pour essayer de faire revenir la gaieté sur leurs visages. Toutefois, comme j’étais gonflé à bloc et que j’étais venu pour m’amuser, ce ne fut pas trop difficile. Nous passions nos journées à nous promener, à nous prélasser à la plage, à manger des glaces ou à boire des pots aux bars, et ...