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Christine et nos jeux humides, deuxième partie
Datte: 29/05/2021, Catégories: fh, telnet, volupté, cérébral, couche, Masturbation uro,
Résumé de la première partie J’ai connu Christine sur un serveur Minitel. Elle aime faire pipi dans sa culotte et j’adore qu’elle le fasse. Nous avons longuement chatté puis nous sommes passés au téléphone. Nous nous parlons des heures chaque soir, avec de longues séances de masturbation et de jeux humides. Généralement, elle faisait trois ou quatre fois pipi dans sa culotte par soirée au téléphone. Bien sûr, elle buvait beaucoup, au point qu’elle avait pratiquement toujours envie. À chaque fois, nous nous masturbions. Ma libido est forte mais j’avoue qu’à partir de la troisième fois, c’était assez difficile. Pourtant, à chaque fois que sa petite voix coquine me disait qu’elle était à nouveau en train de faire pipi dans sa culotte, je craquais… Un jour nous avons évoqué le sujet du… je déteste ce mot. L’idée qu’elle remplisse sa culotte ne m’excitait pas spécialement mais l’idée que cela puisse lui plaire m’excitait beaucoup. L’excitation qu’elle ressentait en faisant pipi me touchait autant que l’acte lui-même. Alors que pour la grosse commission, l’acte ne m’excite a priori pas vraiment. Mais peut-être changerais-je d’avis si je rencontrais une femme que cette idée rend folle. J’ai dû entamer le sujet à peu près comme ceci : — Tu as déjà imaginé aller plus loin ?— Forcément, c’est la suite logique… je m’attendais à ce que tôt ou tard on aborde le sujet.— On parle bien de la même chose ?— Que… je chie dans ma culotte non ?— Oui… Cela ne la gênait pas d’en parler mais je ne ...
... la sentais pas très enthousiaste. Je n’étais pas contrarié mais j’avais envie de connaître ses limites et je commençai à imaginer à haute voix un petit scénario durant lequel elle remplirait sa culotte, en « oubliant » de la baisser alors qu’elle est accroupie dans les bois. Au début, elle était excitée et commençait à se branler. Mais peu à peu, je sentis que, sans oser le dire, elle n’appréciait pas. J’arrêtais donc. Avant d’envisager une rencontre, nous pouvions imaginer ce que nous ferions. Voici l’une de nos conversations : — Je pourrais faire pipi dans ma culotte en public, dans la file d’attente d’un cinéma. Puis tu m’emmènerais dans les toilettes pour me changer.— Tu aurais prévu dans ton sac à main, une culotte de rechange.— Oh oui ! Cette idée me trouble beaucoup. C’est particulièrement coquin car ça signifie qu’on sait à l’avance que je vais m’oublier dans ma culotte…— Tu n’auras pas honte par rapport aux gens ?— Je ne suis pas obligée de tout faire, il y a une façon intelligente de mouiller sa culotte ! J’avoue que si l’on prend un peu de recul, cette dernière phrase vaut son pesant de cacahuètes. Malgré l’excitation, je n’ai pas loupé l’occasion de la charrier : — Parler d’intelligence lorsque l’on est deux grandes personnes et qu’on parle de se laisser aller dans ses dessous…— Haha ouais ! On est vraiment atteints ! Elle imagina une autre histoire qui nous ramenait aux couches-culottes. — Nous sommes en voiture sur l’autoroute. Nous partons en week-end comme deux ...