Christine et nos jeux humides, deuxième partie
Datte: 29/05/2021,
Catégories:
fh,
telnet,
volupté,
cérébral,
couche,
Masturbation
uro,
... amoureux. J’ai une terrible envie de faire pipi. Je finis par faire dans ma culotte. Nous nous arrêtons sur une aire et nous allons dans la salle qui sert à changer les bébés. Je m’allonge sur la table et tu me mets une couche-culotte !— Les gens nous verrons entrer ! dis-je avec mon souci permanent du regard des autres. Non que cela me fasse vraiment peur (encore que) mais plutôt parce que je voulais que nos délires aient quelque chose de réaliste.— Justement, ce sera très excitant. Imagine le regard des gens qui nous voient faire la queue, avec un sac de couches pour adultes à la main, le devant de ma jupe trempé de pipi et la main entre les cuisses comme si un nouvel accident était imminent !— Et ensuite, nous reprendrons la voiture et tu mouilleras ta couche ?— Oui mais sans te le dire… Et je plongerai la main dans ma couche pour me branler, pendant que tu conduis. Nous avons franchi un nouveau pas lorsque Christine a commencé à faire pipi dans sa culotte alors que nous n’étions pas au téléphone. Un jour elle est revenue chez elle avec une grosse envie. Elle est allée aux toilettes mais elle est restée debout et a fait dans sa culotte et dans son pantalon. — Cela a fait une mare immense à mes pieds, m’a-t-elle ensuite raconté.— Et tu t’es branlée ?— Non même pas.— Tu n’étais pas excitée ?— Non, non, pas vraiment, non, c’était juste le plaisir de me soulager et d’admirer ce que j’avais fait, me dit-elle comme si l’excitation sexuelle n’allait pas de soi. Elle avait fait ...
... pipi dans sa culotte et cela suffisait à lui faire ressentir du plaisir…— Ta mère était là ?— Oui… Je lui ai dit que je n’avais pas pu me retenir. Elle a eu l’air de s’inquiéter, car elle n’ignore pas non plus que mon lit est souvent mouillé… Sa relative insouciance par rapport à sa mère m’étonnait un peu. Puis ses accidents volontaires ont changé de terrain. Un soir, elle m’a annoncé qu’elle avait fait dans sa culotte en revenant chez elle, en arrivant à la gare, à quelques centaines de mètres de l’appartement de ses parents. Evidemment, je la criblai de questions. — Tu as fait beaucoup ?— Oui pas mal…— Tu étais habillée comment ?— Avec un bermuda.— Tu t’es complètement laissée aller ?— Non mais la tâche était assez grande et très visible…— Tu as croisé des gens ?— Oui mais personne n’a noté mon état…— Ta mère était chez toi lorsque tu es arrivée ?— Non…— Tu portes toujours ta culotte et ton bermuda mouillé ?— Non je me suis changée.— Tu as à nouveau envie de faire pipi ?— Oui…— Fais dans ta culotte ma chérie…— Oui mon chéri… je vais faire pipi dans ma culotte… ça vient…— Vas-y, inonde tes dessous ma petite chérie, ma pisseuse…— Oui je suis ta petite pisseuse, je fais pipi dans ma culotte, je fais pipi dans ma culotte et je me branle, je fais pipi dans ma culotte et je me branle, je fais pipi dans ma culotte et je me branle, je fais… pipi dans ma… culotte et je me… branle… Un autre pas fut franchi lorsque nous avons mis au point un scénario qu’elle devrait scrupuleusement ...