Service Sucette de Cinq à Sept
Datte: 29/05/2021,
Catégories:
fh,
fhhh,
hplusag,
inconnu,
Oral
bukkake,
Julie, ma femme, déteste son boulot, ou plutôt ce qu’est devenu son boulot depuis que, pour des raisons d’économie, les différents établissements de notre région se sont mutualisés. Mais hélas, tout a été fait en dépit du bon sens dans tous les services, sauf à la Direction, comme de bien entendu. Elle pourrait démissionner, mais à son âge (le demi-siècle légèrement dépassé), il lui sera difficile de retrouver ailleurs quelque chose de correct. Du coup, elle explore toutes les possibilités pour se dégager de ce travail qui la stresse, alors qu’avant, elle était vraiment contente d’aller bosser. Justement, quand on parle de la louve… La porte claque, elle vient juste de rentrer : — Ah, j’en ai ras le bol de ce boulot de merde !— Il s’est passé quoi aujourd’hui, ma chérie ?— Il s’est passé que j’ai dû me coltiner tout le boulot alors que nous sommes censés être quatre à le faire. Et bien sûr, là-haut, ils n’ont rien voulu savoir, et ils n’ont pas daigné me fournir de l’aide. Quant à mes abrutis de chefs, pas un seul pour venir me donner un coup de main ! Si jamais demain, il se repasse la même chose, je me fous en arrêt maladie ! Ce job est devenu tellement pourri que faire la pute serait nettement meilleur pour ma santé ! Quand ma femme est lancée, il n’est pas souhaitable de l’interrompre, il vaut mieux attendre. Quant à jouer la pute, j’ai des doutes qu’elle le fasse un jour, même si nous faisons un peu de libertinage depuis quelques années, mais c’est très épisodique. Je ...
... la prends dans mes bras, elle se laisse faire. — Ma chérie, je ne suis pas certain que faire la pute soit une idée vraiment meilleure. Au moins, tu es au chaud dans ton bureau.— Tu parles ! Je serais encore plus au chaud dans un lit ! C’est un argument que je n’avais pas vu venir : — C’est pas faux. Mais tu ne sais jamais sur quel client tu risques de tomber…— Il suffit de les choisir en amont. Tu as des réseaux, des carnets d’adresses…— Encore faut-il accéder à ces réseaux.— En tout cas, quand tu vois les tarifs, ça me laisse rêveuse ! Comme je gagne des clopinettes dans cette boîte de merde, en trois-quatre jours plein temps, je gagerais plus qu’en un mois ! Je soupire. Ce n’est pas la première fois que ma chère moitié met ce genre de sujet sur le tapis. Entretemps, par amusement, j’ai cogité de mon côté. Peut-être que je devrais lui exposer mon idée saugrenue… La relâchant un peu, je désigne le canapé : — Assieds-toi, j’ai un truc à te dire… c’est une idée un peu à la masse…— Ah ? Dis toujours…— Assieds-toi avant. Nous nous asseyons l’un à côté de l’autre, je lui déroule petit à petit le concept en question : — Imagine une petite société de service, ou bien une travailleuse indépendante, dont le boulot serait de soulager ces vaillants mâles qui reviennent stressés d’une dure et pénible journée de travail.— C’est-à-dire ?— En rentrant du boulot, les burnes pleines, ils viennent faire un petit tour dans les locaux de cette société, et là, une gentille spécialiste de la chose ...