Service Sucette de Cinq à Sept - Histoires de Sexe

Service Sucette de Cinq à Sept

... fidèle, même quand nous nous livrons au libertinage. Ça vous paraît paradoxal, mais c’est ainsi ! C’est moi qu’il préfère baiser avec d’autres hommes, plutôt que de faire l’amour à une autre femme. Je me permets une réflexion à voix haute : — N’empêche que tout ceci est bizarre…— Qu’est-ce qui est bizarre, ma chérie ?— On va peut-être se retrouver un beau jour à la tête d’une holding spécialisée dans la sucette, un truc côté en bourse ! C’est le moins qu’on puisse dire ! Ce qui fait rire mon mari : — Je te signale que c’est juste un club très privé, avec maintenant deux animatrices, et bientôt une centaine de contacts, dont environ un quart de très réguliers. Je suis songeuse : — N’empêche qu’en si peu de temps !— C’est qu’il y avait une demande, tout simplement. Au fait, j’ai demandé à Ludovic de se pencher un peu plus sur la question de la légalité de notre club. Il viendra après-demain nous expliquer divers points de détail, et surtout avec des pistes à explorer.— Ah oui, c’est vrai, Ludo est juriste.— Et pas l’un des moindres… Au fait, je te laisse deviner ce qu’il attend comme moyen de paiement, ou plutôt de troc… Je lève les yeux au ciel : — Faut pas demander…— En clair, il te veut pour une nuit… comme tu le fais avec Antonio… J’écarquille grand les yeux : — Une nuit complète ? Mais il va s’arranger comment avec sa femme ?— Ça, c’est son problème, pas le nôtre…— Oui, mais bon ! Imagine que sa femme le sache, et qu’elle demande le divorce, elle en est capable ! ...

... T’imagines comment ça peut dégénérer ? Moi, ça ne me plairait pas que tout le monde connaisse ma nouvelle activité !— Tu as raison, ma chérie. Je lui poserai la question. Ceci dit, changeant de sujet, mon homme me plaque contre lui : — En attendant, moi, je veux aussi profiter de toi !— Ben voyons ! Je suis le joujou de tout le monde !— Tu es mon joujou à moi ! N’oublie pas que tu es ma femme légitime et que je suis assez complaisant pour te laisser vivre tes lubies.— Parce que ça t’arrange bien… Au fait, tu ne veux pas savoir pour Pauline ? Il resserre plus encore son étreinte : — Bien sûr que je veux savoir, mais tu passeras quand même à la casserole !— Quel vocabulaire !— Allez, raconte ! De bonne grâce, je m’exécute : — Nous nous sommes rendus dans la salle de réunion où nous attendaient quelques sociétaires triés sur le volet. Il ne fallait pas se louper pour cette première fois.— C’est logique, il fallait mettre toutes les chances de ton côté pour décrocher une nouvelle collègue de travail… Même si elle était déjà ton ancienne collègue de travail. De la suite dans la continuité…— Pauline a une légère réticence quand elle a découvert qu’elle devait mettre la main à la pâte ou plutôt mettre ces zobs dans sa bouche. Je pense que, jusqu’au bout, jusqu’à la dernière minute, elle a pensé dans un coin de sa tête que c’était une grosse plaisanterie qu’on était en train de lui faire. Du coup, pour la mettre dans le bain, j’ai dû faire une petite démo. Tu aurais vu sa tête !— Ça peut se ...