Service Sucette de Cinq à Sept
Datte: 29/05/2021,
Catégories:
fh,
fhhh,
hplusag,
inconnu,
Oral
bukkake,
... plaisir, mais comme je commence à avoir de l’expérience, ce fut peine perdue ! Et puis, j’ai aussi l’arme ultime du doigt dans le cul pour aller masser vicieusement la prostate de mon partenaire, et là, croyez-moi, le problème est vite réglé ! Par pure charité chrétienne, je m’offre le luxe d’offrir un second passage des plats à ceux qui le peuvent. Aujourd’hui, trois membres sont à la seconde fête, mais ils ne résistent pas bien longtemps, et comme ils sont déjà allègrement vidés auparavant, j’en ai moins à avaler ! À m’entendre raisonner de la sorte, je crois que je deviens un peu garce sur les bords. Mais honnêtement, le pouvoir que j’ai sur mes hommes m’amuse beaucoup. Oui, mes hommes, ils sont un peu à moi, même si la plupart sont mariés, mais s’ils souscrivent à mes bons offices, c’est parce que Madame la légitime ne leur offre pas ce genre de service. Après l’effort, un peu de parlotte. Les hommes aiment bien deviser, discuter et me faire des compliments, ce qui me plaît beaucoup, même si l’idée générale est que je suis une bonne suceuse, pas le genre de louange qu’on peut crier sur tous les toits ! Je constate que tout mon petit monde reprend des forces. C’est Nathan, un membre assez récent qui prend l’initiative : — Ce fut très bon, Lily, mais comme nous avons encore un peu de réserve, que diriez-vous d’un bukkake pour parachever cette séance en beauté ? Ou plutôt en crème de beauté ? Je hausse les sourcils. Il continue : — Vous êtes étonnée que je vous propose ...
... ça ?— Non, non, je suis étonnée que vous connaissiez ce mot japonais.— Ce n’est pas parce que nous avons un certain âge qu’il faut nous prendre pour des gâteux ! Et il est bien connu que la liqueur d’homme est propice aux soins de la peau. À l’évocation de cette pseudothérapie, je souris : — Je croyais que c’était pour les maux de gorge ?— De ce côté-là, vous êtes amenuisée pour bien des années, Lilly ! Je m’empare d’une serviette : — D’accord, mais évitez de tacher la robe et de m’en mettre trop dans les cheveux, car ça colle et c’est dur à ravoir, même après trente-six shampoings !— Il suffit que tu te mettes toute nue…— Taratata ! Ce sera pour une autre fois !— Et c’est quand cette autre fois ?— On en parlera après, OK ? Je m’installe confortablement dans un fauteuil, mettant la serviette autour du cou, pour limiter les dégâts sur mes vêtements. Aussitôt, les hommes m’entourent et commencent à se branler en même temps. Par amusement, je me demande qui jaillira le premier… Je surveille du coin de l’œil la montée en puissance, car je ne tiens pas à récupérer du sperme dans les mirettes. À la longue, j’ai un peu l’expérience de deviner quand une bite va cracher ses réserves, certains indices ne trompent pas, et justement, je détecte à droite ce type de prémices. J’ai juste le temps de fermer les yeux qu’un jet vient s’aplatir sur l’arête de mon nez. Je sens distinctement le sperme couler vers ma joue, mais déjà un autre jet fuse, éclaboussant mon menton. Puis c’est le feu ...