Celia, dis-le-moi avec trois doigts
Datte: 30/05/2021,
Catégories:
f,
extracon,
collection,
volupté,
fsoumise,
cérébral,
revede,
Masturbation
Celia avait choisi… Mariage, maison, Volvo, deux labradors et bientôt, sûrement, un enfant. Jolie petite vie. Oui, jolie petite vie. Surtout petite, et jolie. Jolie comme mignonne. Jolie pas comme bandante, pas comme excitante, pas comme jouissive. Celia s’ennuyait ferme. Elle ne pouvait même pas dire qu’elle s’ennuyait dur, tellement sa vie paraissait douce. Et c’est bien d’une bonne bite bien dure dont elle rêvait, celle de sa jeunesse, celle qui lui avait donné tant de plaisir, tant de jouissance, celle qui la faisait mouiller quand elle y pensait. Parfois elle lui parlait. Pas à cette queue, non. Une queue ne parle pas, ne pense pas. Une queue, cette queue la remplit, la fait crier, la fait jouir et l’assomme. Mais elle ne parle pas. Cara, lui, si. Cara savait lui parler. Il savait ce qu’elle aimait, ce qu’elle attendait, ce à quoi elle rêvait. Il connaît son cul, son sexe, ses seins… Il la connaît en entier, dans ses moindres recoins, ses moindres replis, ses moindres courbes. Il sait comment lui parler, à elle, à son corps, à son cul. Il sait combien il compte pour elle. Il sait qu’il peut compter sur elle, sur cette amitié sexuelle, ce mélange de plaisir et de souffrance, de frustration et de libération. Depuis quelques semaines, elle joue. Elle jouit. Le jour, la nuit. Plusieurs fois par jour même. À côté de son mari, loin de lui, dans son lit, à ses côtés, ou lorsqu’elle est seule. Elle aime à se faire jouir ainsi. Selon « ses » règles. Avec ses doigts. C’est encore ...
... une sorte d’ultime honnêteté envers son contrat oral. Une ultime promesse. La dernière avant de sombrer, avant d’accepter ce manque. Pour ceux de nos lecteurs qui avaient eu la chance lire « Celia, mon vit, ses fesses », l’intermède de 4 ans est maintenant terminé. Celia a envie. Le Cul de Celia a envie. Il veut recevoir, être rempli. Comme on le dit maintenant, elle veut se faire enculer. Elle veut. Elle en a envie. Mieux, elle en a besoin. Tout son être respire ce besoin. Dans ses yeux, si vous regardez bien, vous pourrez déceler, au fond de son âme, une (sa) queue. Toute dure et luisante. Elle y pense en se réveillant, en s’habillant. Cette pensée la rend humide environ 12 heures par jour. Elle aime sentir ses lèvres poisseuses. Le fond de sa culotte collant de sa mouille. Son anus palpitant. Ses seins sensibles. Toujours en alerte sexuelle. Elle aime sentir enfin son corps revivre. Sa chatte miauler. Elle a l’impression que chacun peut sentir son odeur sexuelle. Elle aime devenir cette chatte hystérique. Elle a faim maintenant. Elle sait qu’un jour, bientôt, mais jamais assez tôt, elle va recevoir en elle cette queue dont elle rêve tant. Elle a envie de la sentir. De sentir des doigts également. Une langue aussi. Le tout en même temps. Elle rêve alors de scénarios. Elle se voit offerte. Son cul ouvert. En levrette. Elle aime ce terme. Il aime la penser ainsi. Il aime la voir si obscène, l’entendre lui demander de l’enculer. Elle aimait le penser. Elle aime le dire. Elle ...