Celia, dis-le-moi avec trois doigts
Datte: 30/05/2021,
Catégories:
f,
extracon,
collection,
volupté,
fsoumise,
cérébral,
revede,
Masturbation
... aime le penser à chaque instant. Alors, pour le moment, elle se débrouille. Le samedi, jour de repos pour elle, jour de tranquillité où son cher et « tendre » (plutôt mou même) va s’entraîner sur son vélo, elle en profite. Le samedi est « son » jour. Le jour de son plaisir. Le jour sain et saint de sa semaine. Le jour où, semaine après semaine, elle se rend compte de la dépravée qu’elle aime devenir. Depuis quelques semaines, elle arrive à s’introduire 3 doigts. Dans son cul. N’oublions pas que Celia est une anale. Une vraie. Une pure. Son cul, c’est sa jouissance, son paradis. Son cul, c’est son maître. Son maître doit la mettre. Elle aime se faire mettre. Elle jouit à l’idée, elle jouit avec ses doigts, elle jouit de son cul. Elle aime sentir que ça rentre. Elle aime le sentir s’écarter, se dilater, se détendre. Ça la détend. Ça lui plaît. Elle seule, elle et sa queue. Son cul. Sa queue. Sa queue dans son cul. C’est une obsession. C’est une obsédée. Mais elle aime ça. Et elle aimera. Elle a aimé. Mais le meilleur reste à venir. Elle attend qu’il tienne ses promesses. Ses fantasmes la font déjà jouir. Elle attend cette queue. Elle sait qu’elle la sentira bien. Qu’elle la fera bien jouir. Gémir. Crier. Elle attend maintenant ses doigts. Sa main. Elle la veut. Dans son sexe (chatte), son cul (encule-moi). Elle veut le/la sentir partout en elle. Elle veut être écartée, remplie, possédée. Elle veut s’abandonner. À lui et à sa jouissance. Elle veut mouiller. Mouiller comme ...
... jamais. Elle sait qu’il aime ça. Il aime sa mouille. Il aime la lécher, la sentir, la respirer. Il aime l’entendre aussi. Alors elle criera, c’est promis. Elle sera sa chienne, son jouet, sa chose sexuelle. Elle ne sera qu’un sexe, qu’un trou. Elle ne sera plus qu’une jouissance continue. Elle aime tellement jouir. Qu’il la fasse jouir, putain, qu’il vienne la prendre. Qu’il vienne la faire jouir. Elle n’en peux plus. Elle va encore devoir se toucher. Encore devoir se faire jouir pour avoir un peu de répit. Elle va devoir encore ruiner sa culotte. Elle la retirera. Encore. Elle aimera se sentir ainsi vulnérable. Et surprenante. Elle aime savoir son sexe si peu couvert. En quelques mouvements, s’il était là, il pourrait la toucher, l’atteindre, profiter de son clito, de ses lèvres, de son cul, la sentir se contracter autour de ses doigts, puis de sa queue. Mais il n’est pas là. Pas encore. Elle n’est pas encore pleine. Pas encore. Pleine de sa queue, pleine de son foutre. Elle veut se faire foutre. Elle veut de ce foutre, plein… partout. Sur ses seins, ses cuisses, sa langue, ses fesses, dans ses fesses. Elle veut se sentir poisseuse de ce jus d’amour, de sa jouissance, mêler sa mouille a son sperme et respirer cette odeur de sexe en fusion. Elle veut que chacun puisse la respirer, que chacune puisse l’envier. Elle ne veut être que jouissance et plaisir. Et encore une fois, elle mouille. Encore une fois, elle va aller se faire jouir. Allongée, debout, a quatre pattes, peu importe. ...