1. Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (9)


    Datte: 30/05/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    Anne Maman et moi allons vivre durant toutes ces nombreuses années une merveilleuse vie de couple, rien que nous deux. Mais toute règle comporte son exception. Une tierce personne va s’immiscer dans notre intimité… Si ma mémoire ne me trahit pas, je crois que c’est en été 1995 que va se produire quelque chose de très inattendu. Maman a donc 58 ans, mais elle en parait 10 de moins. Il faut dire qu’elle pratique pas mal de sports (outre celui en chambre !), elle soigne bien son corps, et ses tenues soit élégantes soit sexy selon le moment, y contribuent. Sans oublier un grand dynamisme, et beaucoup de gaieté et d’humour. Un jour elle me dit : — Samedi soir, j’ai invité à dîner mon amie et collègue Anne, j’espère que tu seras là, je tiens à te la présenter. Nous sommes amies et confidentes. Elle seule sait pour toi et moi. Elle a 46 ans, mais elle m’a avoué un jour que vers sa vingtième année, elle avait été tentée de coucher avec son cousin germain, mais sans avoir osé franchir le pas. Je me suis sentie beaucoup plus libre pour lui raconter notre histoire. Elle m’affirma que cela ne la choquait nullement, et même que notre amour l’avait touchée. A présent elle est divorcée et vit seule. L’invitation lancée par Maman me ravit, nous allons pouvoir bavarder librement, sans risquer de commettre des gaffes. Elle ajoute malicieusement : — Tu verras, elle est sympa et assez délurée, lorsque nous sommes seules au boulot nous parlons souvent de sexe !... Bon, maintenant, ce n’est pas ...
    ... un top-model !... Après tout, pourquoi pas ? Pouvoir bavarder sans retenue sans craindre d’aborder « le » sujet ! Arrive donc ce samedi soir. Lorsque Maman sort de sa chambre, sa tenue m’étonne grandement. Elle porte un chemisier noir quasiment transparent, dessous je distingue sans peine son soutien-gorge, également noir. Jupe rouge ultra-mini, pratiquement « ras la foune ». Je lui ai offert cette jupe pour son anniversaire, et elle la porte exclusivement pour moi. Et enfin elle s’est juchée sur ses escarpins rouges, aux talons aiguilles de 20 centimètres !... Elle n’est plus sexy, mais fait ouvertement « pute » dans cette tenue excessive. Surtout pour accueillir une simple collègue à elle ! Je n’en vois pas la nécessité. Etrange, étrange. Mais je ne pose aucune question. Vers 19 heures, la fameuse Anne arrive. Brune aux cheveux courts, de taille moyenne, assez jolie de visage. Elle porte une robe d’été à bretelles, bleue, lui dénudant les épaules, assez échancrée, une poitrine assez forte tendant cette robe. Le haut est très sympa, le bas un peu moins. Un bon petit ventre tend la robe, celle-ci, assez courte, dévoile des cuisses bien rondelettes. Anne n’est pas ce qu’on appelle un « canon », mais il émane de sa personne un certain charme qui m’attire de suite, de manière un peu incompréhensible. Lorsqu’elle s’assoit dans le canapé, sa robe remonte très haut sur ses plantureuses cuisses. Je sens bien une grande complicité réciproque entre Anne et Maman, mais quelque chose « ...
«1234...»