Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (9)
Datte: 30/05/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... sombrer dans le sommeil. Ma nuit sera parsemée de rêves érotiques dans lesquels, confusément, je nous vois évoluer en trio. Je m’éveille sur le coup des 6 heures du matin. Et immédiatement, me parviennent des gémissements, de petits cris, des onomatopées. Je tends l’oreille. Ce timbre de voix n’étant pas celui de Maman, Il s’agit donc bien d’Anne ! Puis je reconnais sans hésitation la façon dont Maman exprime son plaisir, par de petits cris, et une alternance de mots doux puis osés. Je me lève, et, honteusement, colle mon oreille au mur. Cette fois distinctement, j’entends : — Oh oui, continue mon Annette ! Bouffe-moi bien, bois mon jus ! — ça te plait salope, hein ? Attends, tourne-toi, je vais m’occuper de ta rondelle ! Je n’en reviens pas, là, juste derrière ce mur, Maman et Anne s’envoient en l’air ! Maman, une lesbienne ?! Jamais, jamais elle n’a exprimé la moindre attirance pour une femme, elle dit seulement respecter les lesbiennes, tout comme les homosexuels. Et là elle… me trompe, sous notre toit, et avec une femme ! Je me sens cocu, me considérant l’égal d’un mari légitime. Trahi ! Et sur l’instant, j’en suis très malheureux. Maman, qui me jure continuellement amour et fidélité, Maman se gouine avec cette salope d’Anne, cette roulure, cette traînée, cette… Je ne trouve pas de mots assez grossiers pour qualifier sa collègue. Alors que les cris de jouissance gagnent en intensité dans la chambre voisine, je me bouche les oreilles, puis, de rage, coiffe mon casque ...
... pour écouter à fond la caisse de la musique sur ma chaîne. Lorsque j’ôte mon casque, un silence total règne à côté. Je serai très long à me lever, vers 9 heures seulement. Finalement, je me décide à passer un pyjama, et me rendre dans la cuisine. Cloué de stupeur, j’y découvre Maman et Anne, toutes deux entièrement nues, préparant le petit déjeuner. Comme si de rien n’était, Anne se dirige vers moi, m’embrasse sur les joues, et m’accueille d’un tout à fait banal : — Bonjour Fabien, tu as bien dormi ? — Euh… bien, oui, merci. Et vous ? — Tu peux me tutoyer tu sais ! Disons que j’ai dormi par intermittences… Cette réflexion a pour effet de faire rire Maman. Je dois me forcer un peu pour jouer l’indifférence. Nous prenons le petit déjeuner dans la cuisine. Malgré un physique assez moyen, il se détache d’Anne une étrange sensualité. Ses seins tombent un peu mais demeurent appréciables, son ventre n’est pas si rond que cela, ses cuisses charnues, attirantes. Lorsqu’elle va se tourner, je vais constater qu’elle est bien « fessue », un assez gros cul, n’ayant pourtant rien de repoussant. Et par devant, un ravissant petit minou frisotté, Et un visage sympa et avenant. Tout ceci présente quelques conséquences se répercutant dans mon pantalon de pyjama… Maman rompt le silence. — Annette, je crois que tu as quelque chose à demander à Fabien, n’est ce pas ? — Ah, Valérie, non ! ça me gène, je ne sais pas si je dois. — Mais si, lance-toi, je suis à peu près certaine de la réponse que tu ...