Transformations diverses
Datte: 31/05/2021,
Catégories:
fffh,
fbi,
grossexe,
hotel,
Transexuels
humour,
fantastiqu,
fantastiq,
... grommelai en me regardant dans la glace, mais les filles paraissaient ravies. Bazouk me jura sur tous ses ancêtres qu’il me rendrait mon apparence normale aussitôt que nous aurions franchi les barrages. Et, après avoir rangé le génie dans sa théière, on partit finalement en emportant toutes nos affaires. À la réception de l’hôtel, ils firent une drôle de tronche en nous voyant passer : moi avec mon allure effrayante, accompagné de quatre belles jeunes femmes, dont l’une en plus était leur collègue. Estelle alla justement leur rendre les clés et je l’entendis vaguement bobarder qu’elle partait faire un tour et qu’elle reviendrait pour prendre son service à dix-huit heures. On chargea nos affaires dans mon espèce de van à étages, second avatar du beau coupé de Bazouk, victime de notre course poursuite de la veille avec la police. L’engin s’avéra quand même assez performant pour nous emmener tous les cinq (plus Bazouk, qu’Aurélie gardait dans sa théière) d’abord jusqu’en bas de l’appart d’Estelle, où celle-ci courut se préparer un petit sac de fringues, puis jusqu’à la plateforme de Roissy - Charles de Gaulle. Ne voulant pas me faire chier à stationner la voiture dans un des parkings lointains, je roulai peinard jusqu’au terminal d’où nous étions censés décoller, et laissai bêtement la voiture devant, avec les clés dessus. Autant qu’elle serve à quelqu’un. Les passants nous jetèrent des regards noirs ; on sortit à toute allure les affaires du coffre ; et quand enfin un gus se ...
... décida à venir nous engueuler pour que je foute ma bagnole ailleurs, je lui ouvris la portière en lui expliquant qu’il venait de gagner une merveilleuse voiture presque neuve. L’intéressé regarda successivement mon bide énorme, ma belle moustache fournie et mes sourcils charnus, et éclata finalement d’un long rire nerveux en s’asseyant à la place du conducteur. Dans l’aérogare, on fonça jusqu’à un guichet d’Air France retirer nos quatre billets pré-réservés et en acheter un autre pour Estelle (en classe affaire, il restait quelques places…). La nana du guichet me regarda elle aussi avec répulsion, et je laissai Aurélie négocier le paiement en espèces. Mais ça n’arrangea pas forcément la mine de la guichetière lorsque ma compagne lui tendit une bonne centaine de billets. Il nous fallait encore des photos pour les passeports. On courut jusqu’à un photomaton, où je pus immortaliser la grosse tronche de cake dont Bazouk m’avait pourvu. Aurélie était en train d’expliquer le fonctionnement du truc à Pandore lorsque j’eus une idée horrible en apercevant soudain un pauvre malheureux dans un fauteuil roulant. Si je me pointais avec un truc comme ça, les douaniers me reconnaîtraient encore moins. Bon, d’un autre côté, ça me faisait franchement chier de voler le fauteuil d’un handicapé… Mais tiens, j’allais lui laisser dix mille euros en compensation, ça apaiserait mon âme misérable. Coup de chance, le mec finit par aller aux chiottes, accompagné par un autre gus. Emportant la théière ...